mercredi 4 août 2021

COVID-19, la guerre contre les peuples

La Grande Faucheuse au service des mondialistes


 Le but de la fausse pandémie COVID-19 a toujours été depuis le début l’imposition du passeport sanitaire. C’est grâce à ce passe numérisé que la population du monde entier pourra être fichée dans une banque de données centrale gérée par les oligarques de Davos qui ont manigancé ce crime contre l’humanité.


Ce sésame servira non seulement à surveiller, mais à mettre en place un gouvernement mondial, et en fin de compte, à réduire, nous verrons comment ci-dessous, la population mondiale à un milliard d’habitants ou moins, la capacité d’accueil idéale de la planète selon les écologistes de l'Agenda 2030 comme le Prince Charles et la référence allemande de la climatologie, Hans Joachim Schellnhuber (1).


 La peur


Mais comment imposer ce passeport sanitaire digne des pires romans dystopiques que personne ne voudrait en temps normal ? Par la peur, l’outil de contrôle par excellence de tout État totalitaire : « [...] le désastre déclencheur — le coup d’État, l’attentat terroriste, l’effondrement des marchés, la guerre, le tsunami, l’ouragan [la pandémie], [la crise climatique] — plonge la population dans un état de choc collectif, écrit Naomi Klein dans son livre, La Stratégie du choc : La Montée d’un capitalisme du désastre. […]  À l’instar du prisonnier terrorisé qui trahit ses camarades et renie sa foi, les sociétés en état de choc abandonnent des droits que dans d’autres circonstances, elles auraient jalousement défendus. (2)»


Le plan directeur


Afin de faire peur à la population, il a fallu mentir, encore et encore, dans l’esprit de cette citation d’Orson Welles : « 10 000 répétitions font une vérité. » Pour frapper fort là où les gens dans une société matérialiste et infantilisée comme la nôtre sont les plus vulnérables, les oligarques au pouvoir ont choisi la Grande Faucheuse comme bogeyman sous la forme d’un virus soi-disant très dangereux, voire mortel, le SARS-CoV-2.  Tout a été pensé d’avance par des gens rompus aux techniques de manipulation psychologique. Voici le plan directeur de cette « plandémie » sortie tout droit d’une fiction de George Orwell :


1. Ne compliquez pas les choses. Résumez le danger au terme « COVID-19 ». C’est simple et ça se dit bien, aussi bien que « CO2 » (un autre bogeyman prétendument corrélé à cette pandémie ; les gens ordinaires ne connaissant pour ainsi dire rien en médecine et en science sont très faciles à manipuler ; il s’agit d’appuyer sur les bons boutons).


2. Trouvez-vous si possible des porte-paroles sympathiques et bien de leur personne, des bons communicateurs, et placez-les dans des postes prestigieux pour leur donner de l’autorité (on a mis à leur service pour les aider des milliers de journalistes, des scientifiques corrompus et une foule d'agents sociaux stipendiés).


3. Interdisez dès le début tout traitement précoce (alors que soigner est le  fondement de la médecine ; cette interdiction est capitale pour imposer comme seules solutions tout ce qui va suivre : l’état d’urgence, les couvre-feux, les mesures sanitaires, les faux tests, les faux malades, la vaccination obligatoire et le passeport sanitaire ; les comploteurs ont également interdit les traitements au stade précoce afin de choquer la population en augmentant le nombre d’hospitalisations et de morts).


4. Déclarez l’état d’urgence afin de mettre en place des pratiques autoritaires non justifiées (c’est un bâillon sur la démocratie, car le gouvernement n’est plus redevable en rien, et les labos pharmaceutiques non plus, car grâce à l'état d'urgence, ils ont obtenu l'immunité pénale ; c'est un moyen, en d'autres mots, avec l’absence de traitements alternatifs, d’autoriser l’usage de vaccins et de médicaments non testés comme il se doit et dont on ne connaît ni l’efficacité ni les effets secondaires à court et à long terme ; les marchands, les idéologues et les ripoux du gouvernement sont donc dans le même bateau ; dans ce capitalisme de connivence, les élites corrompues du monde entier vendent impunément aux marchands du Temple leurs propres peuples).


5. Par le matraquage médiatique, les images et les statistiques anxiogènes, instillez la peur dans l’esprit de la population que vous voulez écraser et dominer sans concessions. Pour ce faire, mettez sur le dos de votre croquemitaine improvisé les pires catastrophes et les pires péchés du monde. Choquez. Jouez sur les sentiments. Montrer à la TV des malades au seuil de la mort et des gens en Chine s’écroulant raide morts dans les rues. Gonflez massivement les chiffres. Décrétez des couvre-feux comme en temps de guerre (c’est anxiogène à mort et afin de favoriser la mise en place d'une gouvernance mondiale, cela unifie les peuples en les mobilisant contre un ennemi commun).


6. Confinez, masquez, distanciez et désinfectez (ces mesures sanitaires dont l’efficacité n’est pas étayée scientifiquement servent surtout à faire croire que l’heure est grave et que le seul moyen d’endiguer ce fléau est de vacciner toute la population, y compris les jeunes (une aberration sans nom) et les adultes en bonne santé (aussi aberrant) qui ne courent quasiment aucun risque de mourir de cette maladie, les gens à risque étant surtout les vieux moribonds de plus de 80 ans atteints de plusieurs maladies : selon les chiffres du CDC des États-Unis, le taux de survie pour les 0-19 ans est de 99,997 %, les 20-49 ans, 99,98 %, les 50-69 ans, 99, 5%, et les 70 ans et +, 94,6 % (3) ; ces chiffres seraient considérablement améliorés (+85 %), y compris chez les personnes les plus à risque, si l'interdiction de traiter précocement, avec entre autres l'ivermectin et l'hydroxychloroquine, était levée (4)).


7. Aux mêmes fins : 


·     A) exagérez massivement le nombre de morts en classant « COVID-19 » n’importe quel décès ou presque ; 


·     B) sous prétexte d’éviter la propagation du virus, interdisez les autopsies (impossible à ce moment-là d’identifier la cause exacte du décès) ; 


·     C) multipliez le nombre de cas+ avec des tests PCR incapables de faire la différence entre la COVID-19 et une grippe ou une autre maladie respiratoire (selon les chiffres du CDC, le nombre de cas d’influenza pendant la saison des grippes du 1er octobre au 1er avril 2019-2020 est passé en 2020-2021 de 39 000 000 à 2124 (5) ; ça ne prends pas la tête à Papineau pour comprendre que bon nombre de cas COVID-19 sinon la majorité étaient de toute évidence des cas d’influenza ou de grippe saisonnière, le test PCR n'étant pas spécifique au COVID-19, ils ont tout mis dans le même sac COVID) ;

 

·     D) utilisez un test PCR réglé à son maximum de précision (soit 35 à 40 cycles et plus) afin d’exagérer massivement le nombre de faux cas + (un test réglé aussi haut trouvera du COVID-19 aussi bien dans un pot de fleurs que dans une papaye).


8. Inventez de toute pièce (ce n’est pas des blagues) la notion de transmission asymptomatique (une impossibilité médicale, car si vous avez une charge de virus assez élevée pour être contagieux, vous êtes obligatoirement malade, c'est-à-dire symptomatique) afin de faire croire que tout le monde peut être contagieux (justifiant ainsi la nécessité de tester les non malades et de confiner toute la population, alors que normalement on ne teste et on ne confine que les malades afin de les traiter et les empêcher de transmettre leur maladie. Un vaccin et des mesures sanitaires extrêmes sont donc inutiles, ce type de virus étant en circulation depuis longtemps, la plupart des gens sont déjà protégés).


9. Culpabilisez les fortes têtes qui refusent de mettre le masque, par exemple, ou qui refusent de se faire vacciner, en leur faisant croire qu’ils mettent en danger autrui même s’ils n’ont aucun symptôme et ne sont pas à risques.


10. Faites faire la police par les propriétaires et les employés des magasins et des commerces (un tas de gens bien intentionnés, des petits commis frustrés, des ayatollahs en herbe, des petits boss de bécosse saisiront cette occasion en or pour se défouler, s’affirmer ou signaler leur vertu en rappelant à l’ordre parfois violemment les récalcitrants et les délinquants).


11. Semez le doute et la confusion en changeant d’avis continuellement. Donnez la parole à de faux opposants qui ne feront que jeter de l’huile sur le feu par la désinformation. Publiez dans des revues prestigieuses comme la revue médicale Lancet des informations fausses ou contradictoires rédigées par des mercenaires de la science (ces techniques de manipulation exaltent la tension, l’insécurité et la peur afin de favoriser l’obéissance aveugle).

 

12. Répétez, répétez, répétez, voilà le secret de la fabrication du consentement. Faites-en un réflexe pavlovien en associant COVID-19 à catastrophe, désastre, souffrance danger et mort, et en associant solution à vaccin et vaccin à passeport sanitaire (c’est pour cette raison que cette pandémie est omniprésente dans les médias; il n’est pas absurde de penser dès lors qu’il s’agit d’une pandémie médiatique. Une personne, autrement dit, qui n’a pas la TV et qui ne lit pas les journaux ne se rendrait pas compte qu’elle est en danger de mort puisque personne ne meurt dans les rues et puisque peu de gens dans son entourage sont vraiment malades; elle verrait un cas de grippe pour ce qu’il est sans en faire un drame).


13. Et surtout, n’allez pas dans les détails, cachez la vérité, censurez, ne donnez jamais la parole aux contradicteurs; insultez-les, salissez-les, moquez-vous d’eux, traitez-les de complotistes, de négationnistes, voire de fascistes et de racistes dès qu’ils pointent le nez ; persécutez-les, bloquez leurs comptes en banque, faites-les congédier ; ne publiez jamais leurs articles et leurs vidéos ; bannissez-les des réseaux sociaux (GAFA) ; accusez-les d’une déviance sexuelle quelconque, le sexe c’est très vendeur, il en restera toujours quelque chose. S'il le faut, traitez-les d'antisémite, le seul anathème encore passible d'excommunication et d'enfermement.


14. Pour finir, dites au public que par précaution, on ferait mieux de se faire vacciner tout de suite, bien avant la fin des études cliniques, même si on ne sait pas si ce vaccin expérimental est sécuritaire et efficace. Jouez sur l’altruisme naturel des populations, notamment d’origine européenne, dites-leur qu’en se protégeant, elles protègent les autres. Faites-les marcher à la carotte en leur faisant croire que des matins glorieux les attendent au bout du chemin. Vous aurez l’air d’une bonne personne, sincère et préoccupée par le bien-être de vos compatriotes. Reconnaissants, ils vous défendront et vous obéiront au doigt et à l’œil (selon le principe du syndrome de Stockholm défini comme ceci par Wikipédia : « un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie. »).


Les vaccins


Inutile de le répéter, le but ultime des vaccins n’est ni la protection ni la prévention. Comment le savons-nous ? Eh bien parce que ces raisons ne sont pas plausibles pour les raisons suivantes :


Voici en gros le mode d’action prétendu de ces « vaccins » : on vous injecte dans le bras une substance contenant des messagers ARN et autres composants dont la nature est tenue secrète par les fabricants ; ces mARN vont utiliser la machinerie de vos cellules pour produire de la protéine "spike" (protéine de pointe), une protéine biologiquement active qui se trouve à la surface du virus ; cette protéine une fois libérée dans la circulation va stimuler la production d’anticorps pour la détruire ; toute autre présence subséquente de cette protéine dans votre organisme sera en théorie détruite par ces anticorps.


Or, selon l'immunologiste Mike Yeadon, cofondateur du laboratoire Zarco, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 18 ans (ce n'est pas rien !), le problème avec cette explication est le suivant : d’abord pourquoi stimuler indirectement par l’entremise de mARN la production d’anticorps alors qu’on pourrait obtenir le même résultat (comme le font les Russes avec le SpoutnikV et les Chinois avec le CoronaVac) avec un vaccin conventionnel contenant une protéine spike, voire un virus désactivé ou modifié ? C’est une façon compliquée pour rien de produire des anticorps. Ensuite, étant trop gros pour rentrer dans les cellules où se trouvent les virus, les anticorps jouent un rôle dérisoire dans l'immunité contre les virus ARN comme le SARS-CoV-2 qui s'attaquent à l'épithélium du système respiratoire. Ce sont surtout l'interféron, la première ligne de défense à la surface de l'épithélium respiratoire, et les cellules T (killer cells), qui font partie de l’immunité cellulaire, qui protègent du virus en détruisant les cellules de l’épithélium respiratoire qui sont infectées. Cela veut dire en fin de compte que l’intention prêtée à ces « vaccins » est fausse (6). 


Mais si ces « vaccins » ne servent pas à protéger ou à prévenir, à quoi diable peuvent-ils servir ? « Si le but n’est pas bénin, il doit forcément être malin », constate avec effroi le Dr Mike Yeadon. Et si ce but est malin, quel est-il exactement ?


Avant de répondre à cette question qui tue, quelques notions élémentaires sur les variants sont nécessaires : comme l’explique le Dr Yeadon, lorsqu'un virus se réplique en utilisant les outils de la cellule, les erreurs typographiques sont la norme (erreurs de transcription). Pour faire simple, au lieu de répliquer, par exemple, le segment AATTGC du virus, le ribosome de la cellule qui fabrique les milliers de segments dont est fait un virus se trompe et produit un segment légèrement différent comme ATATCG. C'est un variant,  mais la plupart des variants étant 99,97 % identiques à l'original, le système immunitaire n'a aucun mal à les reconnaître et les combattre (7). Si les vaccinés, autrement dit, sont sensibles aux nouveaux variants, c'est uniquement, aux mieux, parce que les vaccins sont inefficaces ou au pire, parce que les vaccinés font des réactions indésirables au vaccin qu'ils ont déjà reçu.


« On vous ment, par conséquent, déplore le Dr Yeadon, lorsqu'on vous dit qu'un variant 0,03 % différent du virus initial est plus dangereux. Une si petite différence ne justifie aucunement l’adaptation des vaccins aux variants comme les fabricants sont en train de faire, et ce, sans avoir à les tester puisque les autorités médicales ont jugé que ces adaptations aux variants étaient trop semblables aux premiers vaccins. Je suis terrifié à l’idée que ces vaccins adaptés à chaque variant pourraient être utilisés pour vous rendre malade, voire vous tuer, mais je ne vois pas d’autres explications. (8) »


Toujours d’après le Dr Yeadon, et de nombreux autres scientifiques, la protéine spike produite par les mARN du « vaccin » a la capacité de détruire votre santé, et si vous êtes en âge de procréer, de vous rendre stérile. Le but recherché de cette ingéniérie génique n’est donc pas la production d’anticorps pour vous protéger, mais la production de cette fameuse protéine spike. Cette protéine toxique peut se loger n’importe où dans votre corps: le cœur, les vaisseaux pulmonaires, les capillaires du cerveau, les ovaires, l'utérus, le placenta, les cellules séminales qui fabriquent les spermatozoïdes, etc. Et c’est sans parler des autres composants dont on ne connaît pas la nature. À quoi servent-ils exactement ? Pourquoi tenir cette information secrète ? Ne sommes-nous pas en droit de le savoir ?


Voici ce que dit le Groupe REINFO COVID sur les vaccins à mARN :

L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. […[ Et cette mortalité vaccinale n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocher), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale […]. (9)

Voir aussi le témoignage du Dr Zelenko :


Les matins glorieux au bout du chemin


Voici le but ultime de cette « plandémie » : il s’agit d’imposer à une échelle planétaire un passeport sanitaire électronique qui sera géré centralement par les oligarques qui ont manigancé cette plandémie médiatique avec la complicité de l'OMS et des gouvernements. Cet outil de contrôle et de surveillance permettra d'imposer la gouvernance mondiale et la dépopulation à l’aide d'injections toxiques répétées en réponse aux nouveaux variants « typographiques » qui surgissent. 


Ce système de flicage sera mis en place graduellement selon le principe de la grenouille ébouillantée. On commencera par l'exiger pour les restaurants et le cinéma, par exemple, puis on passera graduellement à d'autres services. Sous la menace continuelle de nouveaux variants prétendument dangereux, on vous forcera dès lors à renouveler vos injections régulièrement pour avoir accès aux soins, à la nourriture, votre compte en banque, les transports en commun, etc. Vous recevrez sur l’App de votre téléphone intelligent un avis vous invitant à renouveler votre « vaccin ». Vous aurez alors 20 jours, par exemple, pour vous faire piquer avant d’être en rupture de services.  


Et vous ne pourrez rien faire une fois que ce système de contrôle sera mis en place, les mesures de surveillance à l’instar des impôts et des taxes n’étant en effet jamais temporaires, mais toujours cumulatives et permanentes. De fait, les gouvernements ne reviennent jamais en arrière particulièrement en ce qui concerne les mesures liberticides. Pour votre bien, vous dira-t-on, Big Brother aura l’œil sur vous 24 h sur 24. Si vous avez le malheur de résister, on vous coupera tout simplement les vivres; l'argent liquide dans ce meilleur des mondes étant chose du passé, à moins d'avoir un moyen de subsistance alternatif, vous ne survivrez pas sans votre passe. Ce sera la société totalitaire la plus aboutie que le monde ait connue (10).


Dans ce dessin animé en anglais, facile à comprendre, on vous explique en quelques minutes ce que vous devez savoir non seulement sur cette fausse pandémie, mais sur les prétendus vaccins :

https://videos.files.wordpress.com/p8R7ebPy/if-people-get-jabbed-after-watching-this-they-are-beyond-saving-3_mp4_dvd.mp4


NOTES

1. « The Great Reset (3) », Faits & Documents, no489, 2020.

2. Naomi KLEIN, La Stratégie du choc : La Montée d’un capitalisme du désastre, essai traduit de l’anglais canadien par Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Leméac, 2010.

3. Edwin Mora,  “CDC Data Shows High Virus Survival Rate: 99%-Plus for Ages 69 and Younger, 94.6% for Older”, Breibart News, 20 septembre 2020.

4. Séminaire Peter A. McCullough, IHU Méditerranée-Infection, 5 juillet 2021, YouTube.

5. Scrips National,  “Flu cases plummeted during the 2020-2021 season”, CDC says, The Denver Channel, 24 mai 2021.

6. Dr. Mike Yeadon, “A final Warning. Planet Lockdown”, Bitchute.

7. Ibid.

8. Ibid.

9. La dangerosité des nouveaux vaccins anti-civid est un fait historique, REINFO COVID, le 20 août 2021. 

 10. Dr. Mike Yeadon. Article cité.

 

samedi 11 janvier 2020

L'origine du brasier australien

Charles Danten


Koala échappé du brasier australien

L'importance, l'intensité et la durée des feux de brousse qui dévastent actuellement l’Australie, et qui ont tué des millions d'animaux sauvages, sont largement dues aux politiques écologiques insensées du Parti vert d’Australie (éco-marxisme). 

En croyant bien faire, afin de préserver la nature et les animaux, ce parti a en effet introduit des lois interdisant la coupe et le nettoyage des sous-bois autour des maisons et dans certaines régions forestières à haut risque d’incendie ; ces sous-bois sont les combustibles qui entretiennent ces feux.

Pour les mêmes raisons, le Parti vert a aussi fait interdire les couloirs sans végétation (fire trails) qui limitaient auparavant la propagation des feux de brousse. 

Or, ces bonnes intentions qui n'ont pas en soi mis le feu aux poudres ont certainement pavé la route de l'enfer australien que nous connaissons, et que nous ne voulons pas reproduire ni au Québec ni ailleurs.

Comme il fallait s'y attendre, les activistes du changement climatique se sont saisis de cette occasion en or pour promouvoir leur projet de gouvernance mondiale qu'ils cherchent à imposer au monde par des moyens non démocratiques comme le catastrophisme épidémique, climatique et écologique.

Voir l’article ci-dessous du New York Post :
Or, qu'il soit dit une fois pour toutes, les brasiers de l'Australie - tout comme ceux de l'Amazonie - sont bel et bien dus aux activités humaines, mais pas celles que l'on croit.

Ces feux de forêt gigantesques qui n'en finissent plus de bruler sont en effet d'origine criminelle ou accidentelle dans la majorité des cas (1). 

De fait, plus de 200 pyromanes associés à cet incendie ont été arrêtés. Un grand nombre d'entre eux sont des militants écologistes qui se sont mis dans la tête qu'il fallait absolument faire peur à la population pour que les gouvernements agissent dans leur sens, c'est-à-dire la gouvernance mondiale et le socialisme (marxisme).

Mais si ces brasiers se sont ensuite propagés et intensifiés indument, c'est largement à cause des politiques insensées du Parti vert d'Australie. 

Le réchauffement climatique soi-disant dû aux énergies fossiles n'a rien à voir dans cette tragédie.


Référence

1. Nick Culvert (2019). This is how most bushfires in Australia start, and how we know. ABC Science.