In this blog, I debunk several false notions on animals, humans, and the human-animal bond.
Dans ce blogue, je démystifie plusieurs notions fausses sur les animaux, les humains et le rapport entre les humains et les animaux.
L'importance, l'intensité et la durée des feux de brousse qui dévastent actuellement l’Australie, et qui ont tué des millions d'animaux sauvages, sont largement dues aux politiques écologiques insensées du Parti vert d’Australie (éco-marxisme).
En croyant bien faire, afin de préserver la nature et les animaux, ce parti a en effet introduit des lois interdisant la coupe et le nettoyage des sous-bois autour des maisons et dans certaines régions forestières à haut risque d’incendie ; ces sous-bois sont les combustibles qui entretiennent ces feux.
Pour les mêmes raisons, le Parti vert a aussi fait interdire les couloirs sans végétation (fire trails) qui limitaient auparavant la propagation des feux de brousse.
Or, ces bonnes intentions qui n'ont pas en soi mis le feu aux poudres ont certainement pavé la route de l'enfer australien que nous connaissons, et que nous ne voulons pas reproduire ni au Québec ni ailleurs.
Comme il fallait s'y attendre, les activistes du changement climatique se sont saisis de cette occasion en or pour promouvoir leur projet de gouvernance mondiale qu'ils cherchent à imposer au monde par des moyens non démocratiques comme le catastrophisme épidémique, climatique et écologique.
Or, qu'il soit dit une fois pour toutes, les brasiers de l'Australie - tout comme ceux de l'Amazonie - sont bel et bien dus aux activités humaines, mais pas celles que l'on croit.
Ces feux de forêt gigantesques qui n'en finissent plus de bruler sont en effet d'origine criminelle ou accidentelle dans la majorité des cas (1). De fait, plus de 200 pyromanes associés à cet incendie ont été arrêtés. Un grand nombre d'entre eux sont des militants écologistes qui se sont mis dans la tête qu'il fallait absolument faire peur à la population pour que les gouvernements agissent dans leur sens, c'est-à-dire la gouvernance mondiale et le socialisme (marxisme).
Mais si ces brasiers se sont ensuite propagés et intensifiés indument, c'est largement à cause des politiques insensées du Parti vert d'Australie. Le réchauffement climatique soi-disant dû aux énergies fossiles n'a rien à voir dans cette tragédie.
La supercherie climatique, une vérité qui dérange Charles Danten
Les thèses du célèbre documentaire sur le réchauffement climatique, Une vérité qui dérange, sont l’invention d’un scientifique véreux nommé, Michael Mann, un climatologue de renommée internationale travaillant pour le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) de l'ONU (1).
Son graphique en forme de bâton de hockey publié pour la première fois en 1998 dans la revue scientifique, Nature (2), était la vedette du rapport sur le climat de l’ONU (2001) qui s’est traduit par une levée de boucliers d’une ampleur sans précédent (3).
Cette courbe falsifiée par le Dr Mann et ses collègues montrait que le climat était monté en flèche après plus de 1000 ans de stabilité, et que cette hausse de température aussi soudaine qu’inédite ne pouvait être due qu'à l’activité humaine, notamment à la production de CO2, cette molécule « climatocide » que la jeune militante écologique de 16 ans, Greta Thunberg, prétend voir à l’œil nu (4).
Or, depuis que Mlle Greta a vu, de ses yeux vus, le CO2 dramatiquement illustré par la courbe de Mann, elle est convaincue comme bien des gens que la crise climatique est une crise mondiale, la plus grande crise jamais affrontée par l’humanité. « Nous ne pourrons pas sauver la Terre sans nous unir », déclare l'égérie de l’ONU à son arrivée à New York, sur un voilier de milliardaire, pour la conférence sur le changement climatique (2019). « Écoutez la science M. Trump, supplie la chou chou des antifas, mais il ne le fait évidemment pas, personne n’a réussi à le convaincre que la crise climatique est réelle et que la situation est urgente, alors pourquoi y arriverais-je ? (5) », déplore l’égérie du catastrophisme climatique dirigée de main de maître par Luisa-Marie Neubauerdu groupe écologique One Foundation, un organisme financé notamment par le chanteur Bono, Bill et Mélissa Gates de même que le réseauOpen Society de Georges Soros, le mentor de Justin Trudeau (6).
Vous avez raison Mlle, vous n’arriverez pas à convaincre Donald Trump. Savez-vous pourquoi ? Parce qu’un adulte comme Trump ne prend pas au mot ce que peut bien dire une gamine de votre genre qui passe son temps à foxer l’école. Et parce que la science, la vraie, celle qui n’est pas frelatée par les oligarques et les idéologues qui vous mènent par le bout du nez, n’est pas de votre côté (7). C’est dérangeant pour vous et tous les enfants et leurs parents qui vous suivent aveuglément, car c’est contraire aux idées fausses que les médias de masse et l’école vous ont inculquées depuis vingt ans, mais c’est ainsi, Mlle, vous n’y pouvez rien, la science, la vraie, ne transige pas avec la réalité.
De fait, en 2003, une étude canadienne a montré, sans équivoque, que la courbe en forme de bâton de hockey devenue l’icône des écologistes du monde entier est principalement un artéfact dû à une mauvaise gestion des données, des données obsolètes et un calcul incorrect des principaux facteurs (8). « Lorsqu’on a recalculé les données, précise le climatologue, John O’Sullivan, la courbe a montré qu’il y avait eu un réchauffement au 15esiècle plus important que celui du 20esiècle » (9).
Comme on peut le constater dans le graphique ci-dessous, entre le 10e et le 14e siècle, en plein Moyen Âge, la température moyenne de l’Europe est en effet montée jusqu’à 10o C au-dessus de la moyenne des températures enregistrées au 20e siècle, soit plus de 9o C plus élevés que les hausses les plus récentes d’environ 0,5o C. Cette hausse de température a été suivie d’une mini période glaciaire qui a duré jusqu’au début du 20e siècle.
Depuis ce temps, la température se réchauffe tranquillement, c’est normal après une période de froid, mais il n’y a pas eu de montée en flèche fracassante de la température, et n’ayez crainte, Mlle Thunberg, les ours polaires sont en pleine forme, et n'ont jamais été en danger puisqu'ils ont survécu à des températures beaucoup plus élevées que maintenant (10)(11).
En d’autres mots, la courbe de la température climatique des dix siècles passés, voire des cent siècles passés ne ressemble pas du tout à un bâton de hockey, mais à une montagne russe. Ça monte, ça descend. Ça passe de la chaleur torride au froid polaire. Et nous tous, pauvres petits humains insignifiants que nous sommes, n’avons rien à voir là-dedans, c'est surtout le soleil qui contrôle le climat. Le lien entre l'activité du soleil et la température globale est d'ailleurs scientifiquement établi. Rien à voir avec le CO2 produit par les énergies fossiles qui ne représente que 4 % des émissions de CO2 dans l'atmosphère, et non 90 % comme le prétend faussement le GIEC (ONU). La majorité du CO2 (90 %) provient de la décomposition de la matière organique végétale et animale (12).
Dans le graphique ci-dessous, on voit à droite la période de réchauffement médiévale (medieval warming) et tout au bout en rouge, le réchauffement actuel. On constate dans ce graphique que les émissions de CO2 des énergies fossiles n'existaient pas pendant les périodes les plus chaudes de l'histoire terrestre.
Pour ne pas nuire à leurs intérêts, Michael Mann et son équipe de pseudo scientifiques du GIEC (ONU) ont tout simplement effacé de leurs travaux cette vérité dérangeante. Comme aucune de leurs prévisions de réchauffement catastrophique ne se produisait, ils ont par ailleurs changé le terme « réchauffement climatique » pour « changement climatique », comme ça, aucune chance de se tromper, car par définition le climat change constamment.
C’est le Dr Tim Ball, un climatologue canadien qui a découvert le pot aux roses. Ce chevalier sans peur et sans reproche, tout droit sorti d’une gravure d’Albrecht Dürer, mérite tous les honneurs, car le procès pour diffamation que lui a intenté Michael Mann était loin d’être gagné (13).
Mann, ce climat-criminel était en effet moralement soutenu par un grand nombre de climatologues aussi pourris que lui ; il était également soutenu financièrement non seulement par l’ONU, mais par la Fondation Suzuki, une organisation elle-même financée par des grandes corporations et des fondations comme la Fondation Rockefeller (14), membre influent de la Société fabienne.
La Société fabienne dont l’objectif est d’instaurer subrepticement, par des moyens non démocratiques, le socialisme planétaire, le démantèlement des Nations, l'ouverture des frontières et la gouvernance mondiale (15) compte parmi ces membres, les Rockefeller, les Rothschild, George Soros, Barack Obama, les Clinton, Tony Blair, François Hollande, Jeremy Corbin, Ehud Barak, Gerhard Schröder et feu Pierre Eliot Trudeau et son fils, Justin Trudeau (16)(17).
David Rockefeller, par exemple, ne cachait d’ailleurs pas sa volonté d’unifier la terre en un seul pays et de réaliser la gouvernance mondiale : « Certains pensent même que nous [la famille Rockefeller] faisons partie d’une cabale qui travaille contre les intérêts supérieurs des États-Unis ; que nous serions des internationalistes conspirant avec d’autres autour de la planète afin de construire une structure politique et économique plus intégrée – un seul monde, si vous voulez. Si c’est de cela qu’on m’accuse, je suis coupable, et j’en suis fier. (18) »
Comme le dit David Ruse, l’auteur du livre, Fake Science, «l’arnaque du réchauffement climatique favorise la réalisation de ce qu’on appelle la gouvernance mondiale, un réseau d’institutions encadrées par des bureaucrates de l’ONU à New York et à Genève devant qui les États souverains doivent se présenter et rendre des comptes sur une base régulière. L’idée est de céder sa souveraineté, petit à petit, à des organisations que les Américains [citoyens du monde entier] moyens ne peuvent voir, et encore moins contacter (19) ». Le cerveau de ce plan machiavélique est Maurice Strong, un socialiste Fabien aujourd’hui décédé (20). Par souci d’égalitarisme, celui-ci s’est servi de l’écologie et de la science du climat pour appauvrir les nations riches au profit des nations pauvres. « Le Programme des Nations unies pour l'environnement et le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) furent ses instruments, souligne le climatologue Tim Ball ; Strong les a réunis au Sommet de Rio en 1992 [Agenda 21]. Mais le fruit de ses efforts et des politiques qu’ils ont engendré fait désormais souffrir les pauvres et les classes moyennes de tous les pays en raison de l’augmentation du prix de la nourriture et du coût de l’énergie. (21) » Ce qui explique aussi pourquoi le climat-menteur, Michael Mann, milite pour faire destituer Donald Trump qui s'oppose farouchement à la gouvernance mondiale et à la destruction des nations.
En résumé, Mlle Thunberg, l’ennemi commun contre lequel nous devons nous unir n’est ni le changement climatique ni le CO2, mais une petite clique de malades déterminée à réaliser leur projet diabolique, sans nous consulter… que ça nous plaise ou non ! Dans cette supercherie climatique, c’est sans aucun doute la vérité la plus dérangeante.
« Ces alarmistes exigent toujours la même chose, le pouvoir absolu de dominer, transformer et controller chaque facette de notre vie. » D. Trump, discours de Davos du 21 février 2020.
3. Bilan 2001 des changements climatiques. Rapport de synthèse. Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). Organisation des Nations Unis.
11. Susan Crawford (2019). The Polar Bear Catastrophe That Never Happened. The Global Warming Policy Foundation. 12. Tim Ball. Ouvrage cité, p. 268. 13. John O’Sullivan. Article cité.
14. Vivian Krause (april 19, 2012). Suzuki’s funding. Financial Post.
15. John Green (2015). La société Fabienne. L’instauration d’un nouvel ordre internationale chez Béatrice et Sydney Webb. Éditions Saint-Rémi, p. 110.
16. Guy Boulianne (2019). La Société fabienne: les maîtres de la subversion démasqués. Éditions Dédicaces, 484 p.
17. Dennis L. Cuddy, phd (2008). The Road to Socialism and the New World Order. Cuddy.
18. Dennis L. Cuddy. Ouvrage cité, citation en exergue.