In this blog, I debunk several false notions on animals, humans, and the human-animal bond.
Dans ce blogue, je démystifie plusieurs notions fausses sur les animaux, les humains et le rapport entre les humains et les animaux.
C'est en effet ce que j'ai décrit dans mon livre, Requiem pour la bête. Mais sans identifier les responsables, il sera difficile de résister à l'asservissement de l'humanité qui s'en vient.
Sous couvert de « DÉVELOPPEMENT DURABLE »,les changements climatiques, l'inclusion et la santésont utilisés comme « Cheval de Troie » pour faire accepter l'« AGENDA 21 » que voici :
Éliminer la souveraineté des États-Nations et le sentiment d'appartenance national. Il n'y aura plus d'élections démocratiques.
La prise de contrôle absolue et la gestion par le gouvernement de toutes les ressources incluant l'eau, les écosystèmes, les terres, les déserts, les montagnes, les forêts, tous les cours d’eau, les océans, les animaux, les minéraux, l’énergie, les moyens de production et les humains, les biotechnologies, le développement rural et industriel.
L’abolition de la propriété privée. Plus personne (excepté les plus riches) n’auront accès à la propriété.
Redéfinition du rôle de la famille : Les enfants devront être élevés par l’État (conditionnement, endoctrinement). Abolition des rôles familiaux de parents.
Tout le domaine du travail doit être contrôlé par le gouvernement et les emplois déterminés par celui-ci. Plus possible de changer de carrière ou de faire ce que l’on désire, l’État décide de tout.
Les déplacements seront strictement contrôlés et les véhicules personnels interdits. On devra utiliser le transport en commun et il sera pratiquement impossible de faire des voyages ou même de sortir de sa zone urbaine pour aller en campagne par exemple.
Création dezones urbaines de concentration humaine (camps de concentration) où chaque humain sera strictement surveillé en tout temps.
Expropriation de toutes les zones rurales. Tout le monde devra vivre en ville, entassé dans de minuscules espaces de 265 pi2.
Redéfinition de l’éducation pour faire de chaque personne des sujets obéissants, incapable de faire autre chose que le travail assigné.
Dépopulation massive de la planète. Environ 6 milliards de personnes devront être éliminées par des moyens divers, dont la vaccination, les maladies virales créées, les « chemtrails », les guerres, la stérilisation, etc.
Note : dans cet article, le terme « végétarien » est un générique englobant toutes les formes de régime à base de plantes, y compris le véganisme ; le terme « viande » est un générique pour tout régime à base de produits animaux y compris le poisson.
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Certaines formes d’exploitation animale sont toujours légitimes tant et aussi longtemps que des solutions de rechange ne seront pas trouvées, et du moment que c’est vital pour notre espèce, selon les données de la science et du gros bon sens.
L’élevage
Admettons pour un instant que les végétariens ont raison, que le régime carné est une tradition barbare, néfaste pour la santé et l’environnement, ce ne serait pas une raison pour imposer le végétarisme par la terreur, en saccageant les boucheries et les charcuteries comme les végétariens ont fait récemment en France et au Québec. Proposer, mais ne pas imposer par la force ses convictions à autrui nous semble être un sage conseil. On ne veut pas d’une révolution, mais d’une évolution, par simple précaution, afin d’avoir le temps de s’adapter et de ne pas faire fausse route.
Il est possible qu’un jour nous abandonnions l’alimentation carnée, mais c’est loin d’être fait. À l’heure actuelle, les études qui pointaient dans cette direction sont sérieusement remises en question (1). De fait, il n’est pas certain scientifiquement que le régime carné soit si mauvais pour la santé et l’environnement que le prétendaient jusqu’à maintenant les végétariens.
Plusieurs études importantes ont en effet démenti les allégations tapageuses des végétariens. Certains scientifiques pensent même que la fameuse pyramide alimentaire de l’Université Harvard est la source de l’épidémie d’obésité morbide et de diabète qui sévit actuellement aux États-Unis, en raison de son importance démesurée accordée aux hydrates de carbone et aux céréales (2).
Avis aux âmes sensibles : sachez que les animaux n’étant pas conscients de leur mort peuvent être élevés et abattus selon les règles de l’art, en minimisant leur stress et leur anxiété. Ce qui présuppose qu’ils soient élevés dans des conditions qui respectent leur besoin de socialisation, d’espace, d’air frais, d’eau et de nourriture saines.
« Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance, et qu’il domine sur le bétail sur toute la terre », dit en résumé Dieu dans la Genèse (I, 26). Nous sommes bien d’accord avec ce principe de domination des humains sur les animaux, mais nous nous devons en retour de traiter ce cheptel providentiel avec le respect qu’il mérite. Ce n'est pas un chèque en blanc.
Dans cette optique, nous réprouvons fortement l’élevage intensif. De fait, à l’instar de l’ethnologue français Jean Pierre Digard, c’est à se demander « si ce type d’élevage ne correspond pas à une logique inconsciente, proche du sadisme, totalement différente en tout cas de celle — productiviste — qui constitue sa raison d’être officielle (3) ».
Pour le dire autrement, élever des animaux dans des conditions concentrationnaires est non seulement un sacrilège, mais une manière malsaine de s’alimenter. Évitez par conséquent les produits pollués aux antibiotiques et aux additifs alimentaires issus des élevages intensifs, vous vous en porterez mieux et les animaux aussi (4).
Il va sans dire dès lors que les abattages halal et casher, deux traditions inutilement cruelles et irrespectueuses des animaux, n’ont pas leur place dans un pays civilisé comme le nôtre. Si les commandements sacrés ordonnent que le sang s’écoule de l’animal vivant, les méthodes modernes d’abattage correspondent aux rituels religieux bien mieux que la méthode religieuse (5).
Il faut savoir aussi que la méthode juive d’abattage (shechitat) n’est pas une exigence de l’Ancien Testament, mais du Talmud, une collection de malédictions dirigées contre les non-juifs et un recueil de superstitions qui n’a rien à voir avec l’authentique judaïsme de l’Ancien Testament (6).
Par conséquent, saigner un animal à mort en lui tranchant la gorge sans l’étourdir au préalable, à la manière des djihadistes, est un acte que nous réprouvons avec vigueur. Cette pratique ignoble – interdite en Suisse depuis 1893, plus récemment, en Suède, au Danemark et en Slovénie, et depuis janvier 2019, en Belgique – doit cesser.
La chasse
Tuer par besoin, pour manger ou se vêtir, oui, mais tuer par caprice pour une fourrure ou un trophée, pour s’amuser et fuir la réalité parfois triste et fastidieuse de la condition humaine, non merci. Tuer un animal n’est pas une alternative au bowling. C’est un acte solennel qui ne devrait jamais être fait à la légère. Mais c’est une façon de voir qui ne se commande pas. Ça doit venir du cœur.
Laissons donc les chasseurs tranquilles. De toute façon, les gens fortement ancrés dans leurs convictions ne changent pas en général, mais finissent par être remplacés par des gens qui pensent autrement. La question est de savoir si oui ou non, cette tradition ancrée dans la préhistoire deviendra un jour obsolète. Rien n’est moins sûr, du moins au Québec, où la chasse gagne de plus en plus en plus d’adeptes, notamment chez les femmes (7).
Est-ce par un effet de mode ou de tapage publicitaire ? C’est fort possible. Dans la logique marchande actuelle, tous les moyens sont bons pour créer de la richesse, quelles que soient les conséquences ; une marchandisation tous azimuts du vivant que certains trouveront tout à fait légitime, mais qui ne concorde pas avec les valeurs que nous défendons.
Rappelons pour clore cette section que « le rôle d’un chasseur digne de ce nom n’est pas seulement de chasser le gibier, mais aussi de l’entretenir et de le soigner afin que naisse et se préserve une situation de gibier plus saine, plus forte et plus diversifiée quant aux espèces. Il doit aussi éviter toute cruauté. L’utilisation de pièges douloureux est prohibée » (8).
Les animaux de compagnie
Nous ne sommes pas totalement contre l’usage des animaux à des fins récréatives et thérapeutiques, mais il faudrait arrêter de faire croire au public que ces animaux sont non seulement indispensables, mais mieux traités que les autres catégories d’animaux. C’est tout simplement faux.
Les bienfaits physiques et psychologiques des animaux ont été massivement exagérés par les médias au service de l’industrie et des groupes d’intérêt qui en tirent profit. Comme le dit le psychologue américain Harold Herzog, du site américain Psychology Today, « l’existence d’un “effet animal” n’est pas un fait établi, mais une simple hypothèse qui n’a pas fait ses preuves (9) ». Plusieurs études importantes, complètement occultées par les médias ont montré que le placébo en plumes et en poils était plutôt nocif, non seulement pour les propriétaires eux-mêmes, mais pour les animaux et l’environnement (10)(11)(12).
Doit-on pour autant interdire ce succédané qui sert entre autres à adoucir le vide créé par le démantèlement de la famille et l’atomisation de la population par le consumérisme ? Bien sûr que non, mais si on trompe les gens en leur cachant la réalité pour vendre du chien comme on vend du meuble, on provoque des dysfonctionnements significatifs tout au long de la chaîne de consommation, soit au niveau de la production, de la vente, de l’utilisation, de l’entretien et du recyclage.
Ne pas mentir au public pour faire de l’argent est une chose, mais reconstruire le tissu social que les marchands ont sciemment détruit en est une autre que nous préconisons fortement (13).
Soulignons par ailleurs que les végétariens qui terrorisent les bouchers et les mangeurs de viande sont des amateurs notoires d’animaux de compagnie. Ils ne semblent pas comprendre que cette forme d’exploitation animale est à mettre dans le même sac que les autres formes d’exploitation animale énumérées dans cet article (14)(15)(16). Or, de deux choses l’une : ils ne font pas le rapport pour une raison ou une autre ou ils ne sont pas sincères, mais motivés par des intérêts personnels qui n’ont rien à voir avec les animaux (17)(18)(19).
Nous ne pourrions pas terminer cette section sans mentionner le lien entre la religion et la popularité des animaux de compagnie. De fait, l’amour des animaux, un sentiment qui s’exprime notamment par le végétarisme, la défense et la protection des animaux, le droit des animaux, les soins vétérinaires, voire la simple possession d’un animal de compagnie, s'inscrit dans un mouvement social amorcé au XVIe siècle en Angleterre, à l'aube de la révolution industrielle (20).
À cette époque, comme aujourd’hui (21)(22), on pensait que se mettre à aimer les animaux à la façon des saints comme François d'Assise, le saint patron des animaux, était « un procédé fort ingénieux, pour établir parmi les hommes le règne pur de la charité ». Il s’agissait, souligne l'ethnologue Éric Baratay, « de purifier l'humanité, d’extirper le goût du sang et de la cruauté, de rendre l’homme meilleur pour ses congénères et donc de protéger l’humanité elle-même » (23). Les autorités morales et spirituelles du moment encourageaient les gens à exercer leur compassion, notamment sur un animal de compagnie (24)(25).
Mais comme le constate le philosophe Luc Ferry dans son livre, Le nouvel ordre écologique.L’arbre, l’animal et l’homme, publié aux éditions Grasset en 1992, l’amour des animaux n’est pas l’apanage du bien, du beau et du bon. Toutes les combinaisons sont possibles. On peut être bon et aimer les animaux, on peut être méchant et aimer les animaux, on peut être bon et ne pas aimer les animaux et on peut être méchant et ne pas aimer les animaux.Or, si vous éliminez ce prétendu monopole du Bien sur l’amour des animaux, vous enlevez aux animalistes leur faire-valoir moral, et par conséquent, leur source de pouvoir, car c’est en effet ce monopole qui les fait briller sur le marché de la compassion.
Quoi qu’il en soit, ceux qui se servent des animaux à cette fin devront bientôt se trouver un autre moyen de signaler leur vertu, car dans un avenir proche, les animaux robots remplaceront les animaux en chair et en os notamment dans les milieux urbains, dans les hospices et dans les hôpitaux spécialisés en soins palliatifs, gériatriques et psychiatriques. Dans un futur proche, il sera par ailleurs de plus en plus mal vu d’exploiter un animal de compagnie pour des raisons ostentatoires ou pour son seul confort et son seul plaisir.
Les chiens de fonction
Les chiens pisteurs et de sauvetage, de même que les chiens de berger et de traîneau jouent un rôle important, pour l’instant irremplaçable. Par contre, nous ne sommes pas du tout convaincu de l’utilité des autres chiens de fonction comme les chiens pour sourds, handicapés et aveugles.
Prenez le chien-guide pour aveugle, par exemple, eh bien, dans l’imaginaire chrétien,
l’aveugle symbolise l’humanité temporairement perdue dans les ténèbres, depuis sa chute du paradis, et qui cherche son chemin vers la rédemption avec l’aide de son fidèle chien, un envoyé de Dieu (26). Or, cette croyance contient à elle seule toute la chimie nécessaire pour entretenir les illusions du public sur l’efficacité de ces chiens, voire leur nécessité, qui à ma connaissance n’a jamais été démontrée scientifiquement.
Heureusement, la vision artificielle, une technologie qui arrive à maturité, va bientôt remplacer ces chiens robots qui servent surtout à mettre en valeur l’industrie de la zoothérapie et des animaux de compagnie en général, notamment les fabricants d’aliments pour animaux qui financent généreusement les entreprises spécialisées dans la fabrication de chiens prothèses.
La vivisection
Tant qu’il n’existera pas d’alternatives, il serait pour le moment prématuré d’abandonner la vivisection pour la recherche médicale, notamment l’expérimentation chirurgicale, dans des conditions strictes et hautement réglementées. Il existe par contre une foule d’alternatives intéressantes aux essais pharmacologiques et toxicologiques. Il n’est plus nécessaire par ailleurs, pour les mêmes raisons, d’utiliser des cobayes ou des animaux préservés dans le formol pour les classes de biologie du secondaire (lycée), par exemple (28).
La corrida
Ses opposants assimilent la corrida à de la torture proposée en spectacle. C’est vrai au premier degré, mais symboliquement, au deuxième degré, on peut voir dans la corrida (comme dans l’élevage concentrationnaire et la chasse) une dramatisation vivante de la lutte contre les instincts, notamment la violence, symbolisée dans ce cas particulier par le taureau (29). Dans ce combat à mort, le matador symbolise la raison (logos) qui à l’aide de la volonté (ethos), symbolisée par la cape du toréador, les picadors, les banderilles et l’épée, affaiblissent la pulsion dérangeante (thanathos) pour mieux la mettre hors d’état de nuire.
Heureusement, la corrida est désormais interdite dans la plupart des pays sauf en Espagne et au Pérou où elle a été déclarée « bien d’intérêt culturel ». Nous préférons canaliser nos pulsions les plus dérangeantes dans des activités moins dommageables et beaucoup plus dignes comme le sport, la méditation, voire la prière.
Les zoos
Les zoos sont des archaïsmes que nous aurions avantage à abandonner. Ils ne jouent pas le rôle d’Arche de Noé qu’on leur attribue. Aucune des espèces élevées dans un zoo n’est en mesure de repeupler un habitat quelconque. Comme les animaux qui sont accouplés ne sont plus soumis à la sélection naturelle, après seulement quelques générations, il se produit chez les descendants une dérive génétique qui se traduit par une foule d’anomalies anatomiques, physiologiques et psychologiques. Des défauts parfois d’une subtilité impossible à déceler même par les yeux les plus aguerris.
En définitive, le problème des espèces en voie de disparition se situant principalement au niveau de la perte d’habitat et des comportements humains, la solution n’est pas dans les zoos dont la fonction principale est de divertir les citadins et de créer de la richesse ; encore une fois, une marchandisation des animaux que certains trouveront légitimes, mais qui n’incarnent pas la mentalité plus conviviale que nous défendons (30)(31).
Nous proposons à la place la diffusion de faux animaux par l’intermédiaire de la projection holographique et de la réalité augmentée, une technologie qui a déjà fait ses preuves en Asie, et qui permet même d’interagir avec les animaux par le biais d’une application de téléphone « intelligent ».
Les parcs aquatiques
On peut mettre dans le même sac les parcs aquatiques, notamment pour la delphinothérapie. Selon les scientifiques Marino et Lilienfield, les plus grands spécialistes au monde des cétacés, la delphinothérapie est fréquemment associée chez les humains à des blessures et à des infections, et les dauphins font l’objet d’une chasse effrénée, aussi méconnue que cruelle (32)(33).
Enfin, toutes les thérapies assistées par l’animal ont ce que les économistes nomment un « coût d’opportunité », c’est-à-dire que l’argent et l’énergie que les parents dépensent sur une « thérapie » qui ne donne aucun résultat tangible ne sont plus disponibles pour investir dans des moyens plus éprouvés et sécuritaires comme ceux qui sont offerts par l’assistance publique et divers autres organismes à vocation caritative (34).
Les cirques
Les cirques quant à eux sont de moins en moins populaires. Ils ne sont plus dans l’air du temps. Emprisonner des animaux dans des conditions inhumaines pour leur faire faire des trucs de singe pour impressionner la galerie n’est plus tellement apprécié par le public. Le Cirque du Soleil a bien compris le message, au bon moment, et c’est ce qui explique son succès.
En conclusion
L’exploitation animale, sous toutes ses formes, doit progressivement diminuer. Commençons par éviter les traitements abusifs comme l’élevage intensif, la chasse aux trophées, les placébos de poils et les cirques. N’attendons pas que la science rende finalement inutile l’usage des animaux de laboratoire et de compagnie pour améliorer dès maintenant leurs conditions de vie ou abandonner tout simplement leur usage lorsque c’est possible.
* Charles Dantena une formation universitaire en agronomie et en médecine vétérinaire. Il a pratiqué la médecine vétérinaire pendant 18 ans, dont 10 à son propre compte.
Bibliographie
Bernardina, Sergio Dalla (2008). L’éloquence des bêtes. Métailié.
Bousquet, Suzanne (2019). Du cachère au halal: Quand cupidité, politique et sournoise destruction de la civilisation occidentale s’entremêlent. Publié à compte d’auteur.
Danten, Charles (2015). Un vétérinaire en colère. Sur les chemins de la rédemption. Samizdat. La première version de ce best-seller québécois a été publiée par VLB en 1999.
Digard, Jean-Pierre (2005). Les Français et leurs animaux : Ethnologie d’un phénomène de société. Fayard, Pluriel Éthnologie.
Ewen, Stuart (2014). La société de l’indécence. Publicité et genèse de la société de consommation. Éditions Le Retour aux Sources.
Ferry, Luc (1992). Le nouvel ordre écologique. L’arbre, l’animal et l’homme.Grasset.
Le Prince, Juda (2020). Talmud. Voyage au bout de la nuit. Éditions Saint Agobard.
Tuan, Yi-Fu (1998). Slaves of Our Affection. The Making of Pets. Yale University Press.
West, Patrick (2004). Conspicuous compassion. Why sometimes it really is cruel to be kind. Civitas.
Références
1.Bradley C. Johnston et coll. (2019). Unprocessed Red Meat and Processed Meat Consumption: Dietary Guideline Recommendations From the Nutritional Recommendation. Annals of Internal Medicine.
2.Meat is back on the menu, & scientists who want to ban cows for the sake of the planet are outraged. RT Question more. [En ligne].
3.Jean-Pierre Digard (2005). L’élevage industriel. Les Français et leurs animaux : Ethnologie d’un phénomène de société. Fayard, Pluriel Éthnologie, p. 4.
4.Tiffanie Ardoin Saint Amand (2004). La règlementation européenne face a l’évolution de la societé : les exemples des antibiotiques facteurs de croissance et du bien être animal en production porcine. Thèse pour obtenir le grade de docteur vétérinaire diplôme d’État présentée et soutenue publiquement en 2004 devant l’Université Paul-Sabatier de Toulouse, [en ligne].
5.Suzanne Bousquet, (2019). Du cachère au halal: Quand cupidité, politique et sournoise destruction de la civilisation occidentale s’entremêlent. Publié à compte d’auteur.
6. Juda Le Prince (2020). Talmud. Voyage au bout de la nuit. Éditions Saint Agobard.
7. La chasse gagne de plus en plus d’adeptes au Québec. Publié le samedi 14 mars 2015 sur le site de Radio-Canada : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/711301/chasse-hausse-adeptes-quebec
8.Luc Ferry (1992). Le nouvel ordre écologique. L’arbre, l’animal et l’homme.Grasset, p. 167.
9.Harold Herzog (2011). The Impact of Pets on Human Health and Psychological Well-Being: Fact, Fiction, or Hypothesis?Current Directions in Psychological Science20(4) 236–239.
11.Jean-Luc Vadakarn (1992). Parle à mon chien, ma tête est malade. Albin Michel.
12.Michael W. Fox (1990). The American Way of exploiting animals. St. Martin's Press.
11.Stuart Ewen (2014). La société de l’indécence. Publicité et genèse de la société de consommation. Éditions Le Retour aux Sources.
12.Stuart Spencer (2006). History and Ethics of Keeping Pets: Comparison with Farm Animals. Journal of Agricultural and Environmental Ethics; 19: 17-25.
13.Leslie Irvine (2004). Pampered or Enslaved? The Moral Dilemmas of Pets. International Journal of Sociology and Social Policy; 24 (4): 5-16.
14.Charles Danten (2015). Un vétérinaire en colère. Sur les chemins de la rédemption. Samizdat. La première version de ce best-seller québécois a été publiée par VLB en 1999.
15.Patrick West (2004). Conspicuous compassion. Why sometimes it really is cruel to be kind. Civitas.
16.Yi-Fu Tuan (1998). Slaves of Our Affection. The Making of Pets. Yale University Press.
17.Sergio Dalla Bernardina (2008). L’éloquence des bêtes. Métailié.
18.Keith Thomas (1983). Dans le jardin de la nature. La mutation des sensibilités en Angleterre à l’époque moderne (1500-1800). Gallimard (Bibliothèque des histoires).
19.Temple Grandin et Catherine Johnson (2009). Animals make us human. Houghton Mifflin Harcourt. Kathleen Kete. Ouvr. cité.
20.Karine-Lou Matignon (2000). Sans les animaux, le monde ne serait pas humain. Albin Michel.
21.Éric Baratay (1995). « Respect de l’animal et respect de l’autre, l’exemple de la zoophilie catholique à l’époque contemporaine. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265.
22.Éric Baratay (1998). « Le Christ est-il mort pour les bêtes? » Étude Rurales : 27-48.
23.Jean-Pierre Albert (1995). « L’Ange et la Bête : Sur quelques motifs hagiographiques. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265.
24.Corinne Morel (2004). Dictionnaire des symboles, mythes et croyances.L’Archipel.
28.Jean-Claude Nouët (1998). « Zoos » dans Si les Lions pouvaient parler. Essais sur la condition animale. Sous la direction de Boris Cyrulnik. Paris : Quarto Gallimard : 543.
29.Eric Baratay et Elizabeth Hardouin-Fugier (2002). Zoo, a history of zoological gardens in the west. Reaction books.
30.Marino Lori et Lilienfield Scott (1998). Dolphin-Assisted Therapy: Flawed Data, Flawed Conclusions. Anthrozoös; 11(4).
31.Marino Lori et Lilienfield Scott (2007). Dolphin-Assisted therapy: More Flawed Data and More Flawed Conclusions. Anthrozoös; 20 (3) : 239-249.
32.Lori Marino et Scott Lilienfeld (2007). Dolphin «therapy »: a dangerous fad, Researchers warn.Science Daily, [en ligne].