vendredi 15 mai 2020

L’amour, plus fort que le confinement

Charles Danten

Le Dr Niel Ferguson, que les taquins se plaisent désormais à nommer, « Dr Confinement », est l’épidémiologiste britannique qui prédisait une véritable hécatombe virologique si on ne s’isolait pas chacun dans son trou. 
Il est probablement le scientifique le moins compétent au monde. Toutes ses prédictions depuis les vingt dernières années ont en effet flopé.
En voici quelques-unes tirées d’une longue liste d’erreurs :
·     En 2001, 6 millions de bovins anglais sont sacrifiés sur l’autel de ses prédictions alarmistes pour stopper l’épidémie de la fièvre aphteuse. Cette décision qui coûta 10 milliards de livres aux contribuables est aujourd’hui considérée comme aberrante, car moins de 200 personnes furent infectées.
·     En 2002, il prédit 50 000 morts de la maladie de la vache folle et peut-être 150 000 si la maladie se transmet des bovins aux moutons. Il s’est trompé. Il n’y eu en réalité que 177 morts. 
·     En 2005, il persiste et signe en prédisant que la grippe aviaire H5N1 pourrait tuer près de 200 millions de personnes. Il s’est encore trompé. Quelques centaines seulement sont décédés. (1)
Or, ce bilan catastrophique n’a pas empêché le Dr Confinement de devenir le conseiller sur les épidémies de l’Union européenne, de l’Angleterre, des États-Unis, de la Banque mondiale et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), une émanation de l’ONU, une organisation Fabienne créée en 1948 dont l'objectif est l'instauration du communisme planétaire par le biais de son Agenda 2030 ; son but ultime est la gouvernance mondiale et un monde sans races, sans frontières ni nations (2)(3)(4)(5)(6). 
Ce n’est ni un complot ni une conspiration, c’est important de le souligner, car l’ONU ne s’en cache pas, son programme est affiché sur son site web au vu et au su de tous. D’ailleurs, la petite épinglette circulaire de différentes couleurs que vous voyez sur la boutonnière de Bill Gates, Jeffrey Sacks et du Dr Horacio Arruda, le directeur de la Santé publique du Québec chargé de la lutte contre le covid-19 est le logo de l’Agenda 2030 de l’ONU. 
Or, comme le dit l'historien de Harvard, Richard Pipes, d’un point de vue éthique, personne n’a le droit de façonner les humains à son image et de reconstruire la société sans le consentement du public, voire contre sa volonté, dans l’esprit du slogan communiste, « nous vous rendrons heureux par la force ». L’autorité politique ne doit jamais être utilisée à des fins idéologiques (7). 
Mais revenons à notre sujet. 
La dernière bévue du Dr Confinement, c’est celle que nous vivons actuellement. Le 16 mars 2020, celui-ci annonçait publiquement sur la BBC, la mort probable de 510 000 personnes au Royaume-Uni et jusqu’à 2,2 millions aux États-Unis. En l'absence de mesures d’atténuation comme le confinement, il prévoyait 7 milliards d'infections et 40 millions de décès à l'échelle mondiale cette année (8)(9). 
La même journée, l’OMS emboitait le pas en annonçant une catastrophe sanitaire d’envergure biblique si on ne confinait pas la planète entière (10). Une mesure extrême, soit dit en passant, qui n’a jamais été employée auparavant et qu’aucun livre d’épidémiologie ne recommande.
N’ayant aucune autorité dans le domaine médical, les politiciens, littéralement subjugués, voire terrorisés par l’ampleur annoncée de la catastrophe sanitaire délèguent à leurs conseillers médicaux le soin de mettre en place des mesures appropriées. 
S’empressant de suivre les directives du Dr Confinement et de l’OMS, ces derniers ordonnent entre autres le confinement de la population au complet afin d’atténuer l’impact du virus et de désengorger les hôpitaux. Cette mesure qui peut sembler exagérée à première vue est tout à fait proportionnelle aux prédictions apocalyptiques du Dr Confinement et de l’OMS. 
Vous auriez fait quoi vous à la place des politiques ?
Entretemps, miracle, le Dr Confinement fait volteface sur ses prédictions initiales et annonce que le virus est 96 % moins contagieux et létal que prévu. Il prédit moins de 20 000 morts en Grande-Bretagne, soit 25 fois moins que prévu. Selon le docteur Anthony Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses aux États-Unis, les conséquences cliniques globales de COVID-19 pourraient finalement être plus proches de celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 %) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968)(11).
Or, malgré ce revirement spectaculaire du Dr Confinement, l’OMS et ses conseillers médicaux, qui dictent aux gouvernements la conduite à suivre, n’en tiennent pas compte et continuent non seulement d’imposer des mesures d'atténuation, mais d'interdire le traitement quasiment 100 % efficace du Pr Didier Raoult, directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, expert mondial no 1 en matière de maladies transmissibles (12).
Il n’est pas absurde dès lors de penser que l’ONU, l’OMS et son principal financier, l’Onusien, Bill Gates (12), ont pris le contrôle de la gestion de la pandémie covid-19 afin de réaliser leur projet hégémonique de gouvernance mondiale. 
Selon cette version des choses, l'interdiction du traitement à la chloroquine, les multiples mesures d’atténuation comme le port du masque, la distanciation sociale, le confinement et surtout son prolongement illégitime puisque la pandémie s’avèrent beaucoup moins grave que prévu, servent à habituer la population, par conditionnement opérant, à obéir à une entité supranationale.
L’autre objectif de l’ONU est d’unir la population contre un ennemi commun qui menace la survie de l’espèce humaine. Rappelez-vous, « nous sommes en guerre » a dit Macron, et en temps de guerre, tout le monde se range derrière les autorités pour défendre la patrie qui devient la terre tout entière puisque c’est à elle que l’agresseur s’attaque. 
Et si l’attaque actuelle n’est pas concluante ou ne produit pas les objectifs escomptés, cette guerre, soyez-en sûr, risque de se prolonger dans le futur avec une seconde vague du même virus ou carrément un autre virus si nécessaire. On doit donc considérer cette première attaque comme un test servant à évaluer la réponse aux mesures contraignantes et les corrections à apporter en cas d’échec. 
À l'instar de l'Union Européenne qui lui sert de modèle, l'ONU tente d'amener les nations à céder leur souveraineté, petit à petit, à des organisations de technocrates non élus que les populations ne peuvent voir, et encore moins contacter. 
Quoi qu'il en soit, le Dr Confinement, quant à lui, ne fera plus de mal à personne. Il a dû en effet démissionner de son poste non pas à cause de son bilan désastreux, mais pour avoir fait venir sa maitresse à plusieurs reprises à son domicile alors qu’il était en quarantaine pour avoir été testé positif au covid-19 (13).
Comme quoi l’amour est plus fort que le confinement !

Références

1. Bill Bostock (Apr 25, 2020). How 'Professor Lockdown' helped save tens of thousands of lives worldwide — and carried COVID-19 into Downing Street. Business insider,https://www.businessinsider.com/neil-ferguson-transformed-uk-covid-response-oxford-challenge-imperial-model-2020-4

2. Guy Boulianne (2019).La Société Fabienne: les maîtres de la subversion démasqués.Éditions Dédicaces, 484 p.

3.  Dennis L. Cuddy, Phd (2008).The Road to Socialism and the New World Order.Cuddy.


5. Pierre-Antoine Plaquevent (2018). Soros et la société ouverte. Métapolitique du globalisme. Le retour aux sources.

6. Tim Ball, PhD (2014). The deliberate corruption of climate science. Stairway Press.

7. Pipes, Richard (1995). Russia Under the Bolshevik Regime. Vintage Books. Les Russes connaissent très bien le communisme. Il a tué au bas mot 30 millions de Russes.

8. Rapport 9 : Impact des interventions non médicamenteuses (INM) sur la réduction du taux de mortalité de la pandémie de COVID-19 et sur la demande en soins sanitaires.  MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis. Imperial College, London : https://www.imperial.ac.uk/media/imperial-college/medicine/mrc-gida/2020-03-16-COVID19-Report-9.pdf

9. Report 12 : The global impact of COVID-19 and strategies for mitigation and suppression. MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis. Imperial College, London : https://www.imperial.ac.uk/media/imperial-college/medicine/mrc-gida/2020-03-26-COVID19-Report-12.pdf

10. François Brousseau (18 avril 2020). L’Organisation mondiale de la santé au pilori. Radio-Canada, https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1695142/oms-trump-coronavirus-pandemie

11. Anthony Fauci cité par Georges Buscemi (14/04/2020). Le roi est nu ? La crise du coronavirus en question (Partie I – analyse d’une crise exagérée). Québec Viehttps://www.cqv.qc.ca/le_roi_est_nu_la_crise_du_coronavirus_en_question_partie_i?utm_campaign=courriel_hebd_85&utm_medium

12. James Delingpole (19 March 2020) Chloroquine Known as Effective Against Coronavirus Since 2005. Breitbart, https://www.breitbart.com/politics/2020/03/19/chloroquine-known-as-effective-against-coronavirus-since-2005/

13. (06 mai 2020). L’épidémiologiste star Neil Ferguson, chantre du confinement, démissionne après l’avoir enfreint. L’Obshttps://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200506.OBS28447/le-scientifique-britannique-neil-ferguson-qui-avait-preconise-le-confinement-demissionne-apres-l-avoir-enfreint.html











samedi 11 janvier 2020

L'origine du brasier australien

Charles Danten


Koala échappé du brasier australien

L'importance, l'intensité et la durée des feux de brousse qui dévastent actuellement l’Australie, et qui ont tué des millions d'animaux sauvages, sont largement dues aux politiques écologiques insensées du Parti vert d’Australie (éco-marxisme). 

En croyant bien faire, afin de préserver la nature et les animaux, ce parti a en effet introduit des lois interdisant la coupe et le nettoyage des sous-bois autour des maisons et dans certaines régions forestières à haut risque d’incendie ; ces sous-bois sont les combustibles qui entretiennent ces feux.

Pour les mêmes raisons, le Parti vert a aussi fait interdire les couloirs sans végétation (fire trails) qui limitaient auparavant la propagation des feux de brousse. 

Or, ces bonnes intentions qui n'ont pas en soi mis le feu aux poudres ont certainement pavé la route de l'enfer australien que nous connaissons, et que nous ne voulons pas reproduire ni au Québec ni ailleurs.

Comme il fallait s'y attendre, les activistes du changement climatique se sont saisis de cette occasion en or pour promouvoir leur projet de gouvernance mondiale qu'ils cherchent à imposer au monde par des moyens non démocratiques comme le catastrophisme épidémique, climatique et écologique.

Voir l’article ci-dessous du New York Post :
Or, qu'il soit dit une fois pour toutes, les brasiers de l'Australie - tout comme ceux de l'Amazonie - sont bel et bien dus aux activités humaines, mais pas celles que l'on croit.

Ces feux de forêt gigantesques qui n'en finissent plus de bruler sont en effet d'origine criminelle ou accidentelle dans la majorité des cas (1). 

De fait, plus de 200 pyromanes associés à cet incendie ont été arrêtés. Un grand nombre d'entre eux sont des militants écologistes qui se sont mis dans la tête qu'il fallait absolument faire peur à la population pour que les gouvernements agissent dans leur sens, c'est-à-dire la gouvernance mondiale et le socialisme (marxisme).

Mais si ces brasiers se sont ensuite propagés et intensifiés indument, c'est largement à cause des politiques insensées du Parti vert d'Australie. 

Le réchauffement climatique soi-disant dû aux énergies fossiles n'a rien à voir dans cette tragédie.


Référence

1. Nick Culvert (2019). This is how most bushfires in Australia start, and how we know. ABC Science.