dimanche 24 octobre 2021

Agenda 2030, l'asservissement de l'humanité

C'est en effet ce que j'ai décrit dans mon livre, Requiem pour la bête. Mais sans identifier les responsables, il sera difficile de résister à l'asservissement de l'humanité qui s'en vient.

Sous couvert de « DÉVELOPPEMENT DURABLE », les changements climatiques, l'inclusion et la santé sont utilisés comme « Cheval de Troie » pour faire accepter l'« AGENDA 21 » que voici :

  • Éliminer la souveraineté des États-Nations et le sentiment d'appartenance national. Il n'y aura plus d'élections démocratiques.

 

  • La prise de contrôle absolue et la gestion par le gouvernement de toutes les ressources incluant l'eau, les écosystèmes, les terres, les déserts, les montagnes, les forêts, tous les cours d’eau, les océans, les animaux, les minéraux, l’énergie, les moyens de production et les humains, les biotechnologies, le développement rural et industriel.

 

  • L’abolition de la propriété privée. Plus personne (excepté les plus riches) n’auront accès à la propriété.

 

  • Redéfinition du rôle de la famille : Les enfants devront être élevés par l’État (conditionnement, endoctrinement). Abolition des rôles familiaux de parents.

 

  • Tout le domaine du travail doit être contrôlé par le gouvernement et les emplois déterminés par celui-ci. Plus possible de changer de carrière ou de faire ce que l’on désire, l’État décide de tout.

 

  • Les déplacements seront strictement contrôlés et les véhicules personnels interdits. On devra utiliser le transport en commun et il sera pratiquement impossible de faire des voyages ou même de sortir de sa zone urbaine pour aller en campagne par exemple.

 

  • Création de zones urbaines de concentration humaine (camps de concentration) où chaque humain sera strictement surveillé en tout temps.

  • Expropriation de toutes les zones rurales. Tout le monde devra vivre en ville, entassé dans de minuscules espaces de 265 pi2.

 

  • Redéfinition de l’éducation pour faire de chaque personne des sujets obéissants, incapable de faire autre chose que le travail assigné.

 

  • Dépopulation massive de la planète. Environ 6 milliards de personnes devront être éliminées par des moyens divers, dont la vaccination, les maladies virales créées, les « chemtrails », les guerres, la stérilisation, etc.

 

L'Agenda 21 | Commune de Lanteuil (Corrèze – 19)

dimanche 10 octobre 2021

Un usage des animaux pondéré par la science et le gros bon sens

 Dr Charles Danten, MV, MA


Précision liminaire : dans cet article, le terme « végétarien » est un générique englobant toutes les formes de régime à base de plantes, y compris le véganisme ; le terme « viande » est un générique pour tout régime à base de produits animaux y compris le poisson.
***
Certaines formes d’exploitation animale sont toujours légitimes tant et aussi longtemps que des solutions de rechange ne seront pas trouvées, et du moment que c’est vital pour notre espèce, selon les données de la science et du gros bon sens. 


L’élevage

Admettons pour un instant que les végétariens ont raison, que le régime carné est une tradition barbare, néfaste pour la santé et l’environnement, ce ne serait pas une raison pour imposer le végétarisme par la terreur, en saccageant les boucheries et les charcuteries comme les végétariens ont fait récemment en France et au Québec. Proposer, mais ne pas imposer par la force ses convictions à autrui nous semble être un sage conseil. On ne veut pas d’une révolution, mais d’une évolution, par simple précaution, afin d’avoir le temps de s’adapter et de ne pas faire fausse route.
Il est possible qu’un jour nous abandonnions l’alimentation carnée, mais c’est loin d’être fait. À l’heure actuelle, les études qui pointaient dans cette direction sont sérieusement remises en question (1). De fait, il n’est pas certain scientifiquement que le régime carné soit si mauvais pour la santé et l’environnement que le prétendaient jusqu’à maintenant les végétariens. 
Plusieurs études importantes ont en effet démenti les allégations tapageuses des végétariens. Certains scientifiques pensent même que la fameuse pyramide alimentaire de l’Université Harvard est la source de l’épidémie d’obésité morbide et de diabète qui sévit actuellement aux États-Unis, en raison de son importance démesurée accordée aux hydrates de carbone et aux céréales (2).


Avis aux âmes sensibles : sachez que les animaux n’étant pas conscients de leur mort peuvent être élevés et abattus selon les règles de l’art, en minimisant leur stress et leur anxiété. Ce qui présuppose qu’ils soient élevés dans des conditions qui respectent leur besoin de socialisation, d’espace, d’air frais, d’eau et de nourriture saines.
« Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance, et qu’il domine sur le bétail sur toute la terre », dit en résumé Dieu dans la Genèse (I, 26). Nous sommes bien d’accord avec ce principe de domination des humains sur les animaux, mais nous nous devons en retour de traiter ce cheptel providentiel avec le respect qu’il mérite. Ce n'est pas un chèque en blanc.
Dans cette optique, nous réprouvons fortement l’élevage intensif. De fait, à l’instar de l’ethnologue français Jean Pierre Digard, c’est à se demander « si ce type d’élevage ne correspond pas à une logique inconsciente, proche du sadisme, totalement différente en tout cas de celle — productiviste — qui constitue sa raison d’être officielle (3) ». 
Pour le dire autrement, élever des animaux dans des conditions concentrationnaires est non seulement un sacrilège, mais une manière malsaine de s’alimenter. Évitez par conséquent les produits pollués aux antibiotiques et aux additifs alimentaires issus des élevages intensifs, vous vous en porterez mieux et les animaux aussi (4).
Il va sans dire dès lors que les abattages halal et casher, deux traditions inutilement cruelles et irrespectueuses des animaux, n’ont pas leur place dans un pays civilisé comme le nôtre. Si les commandements sacrés ordonnent que le sang s’écoule de l’animal vivant, les méthodes modernes d’abattage correspondent aux rituels religieux bien mieux que la méthode religieuse (5). 
Il faut savoir aussi que la méthode juive d’abattage (shechitat) n’est pas une exigence de l’Ancien Testament, mais du Talmud, une collection de malédictions dirigées contre les non-juifs et un recueil de superstitions qui n’a rien à voir avec l’authentique judaïsme de l’Ancien Testament (6).
Par conséquent, saigner un animal à mort en lui tranchant la gorge sans l’étourdir au préalable, à la manière des djihadistes, est un acte que nous réprouvons avec vigueur. Cette pratique ignoble – interdite en Suisse depuis 1893, plus récemment, en Suède, au Danemark et en Slovénie, et depuis janvier 2019, en Belgique – doit cesser. 

La chasse

Tuer par besoin, pour manger ou se vêtir, oui, mais tuer par caprice pour une fourrure ou un trophée, pour s’amuser et fuir la réalité parfois triste et fastidieuse de la condition humaine, non merci. Tuer un animal n’est pas une alternative au bowling. C’est un acte solennel qui ne devrait jamais être fait à la légère. Mais c’est une façon de voir qui ne se commande pas. Ça doit venir du cœur.
Laissons donc les chasseurs tranquilles. De toute façon, les gens fortement ancrés dans leurs convictions ne changent pas en général, mais finissent par être remplacés par des gens qui pensent autrement. La question est de savoir si oui ou non, cette tradition ancrée dans la préhistoire deviendra un jour obsolète. Rien n’est moins sûr, du moins au Québec, où la chasse gagne de plus en plus en plus d’adeptes, notamment chez les femmes (7). 
Est-ce par un effet de mode ou de tapage publicitaire ? C’est fort possible. Dans la logique marchande actuelle, tous les moyens sont bons pour créer de la richesse, quelles que soient les conséquences ; une marchandisation tous azimuts du vivant que certains trouveront tout à fait légitime, mais qui ne concorde pas avec les valeurs que nous défendons. 
Rappelons pour clore cette section que « le rôle d’un chasseur digne de ce nom n’est pas seulement de chasser le gibier, mais aussi de l’entretenir et de le soigner afin que naisse et se préserve une situation de gibier plus saine, plus forte et plus diversifiée quant aux espèces. Il doit aussi éviter toute cruauté. L’utilisation de pièges douloureux est prohibée » (8).

Les animaux de compagnie

Nous ne sommes pas totalement contre l’usage des animaux à des fins récréatives et thérapeutiques, mais il faudrait arrêter de faire croire au public que ces animaux sont non seulement indispensables, mais mieux traités que les autres catégories d’animaux. C’est tout simplement faux. 
Les bienfaits physiques et psychologiques des animaux ont été massivement exagérés par les médias au service de l’industrie et des groupes d’intérêt qui en tirent profit. Comme le dit le psychologue américain Harold Herzog, du site américain Psychology Today, « l’existence d’un “effet animal” n’est pas un fait établi, mais une simple hypothèse qui n’a pas fait ses preuves (9) ». Plusieurs études importantes, complètement occultées par les médias ont montré que le placébo en plumes et en poils était plutôt nocif, non seulement pour les propriétaires eux-mêmes, mais pour les animaux et l’environnement (10)(11)(12). 
Doit-on pour autant interdire ce succédané qui sert entre autres à adoucir le vide créé par le démantèlement de la famille et l’atomisation de la population par le consumérisme ? Bien sûr que non, mais si on trompe les gens en leur cachant la réalité pour vendre du chien comme on vend du meuble, on provoque des dysfonctionnements significatifs tout au long de la chaîne de consommation, soit au niveau de la production, de la vente, de l’utilisation, de l’entretien et du recyclage. 
Ne pas mentir au public pour faire de l’argent est une chose, mais reconstruire le tissu social que les marchands ont sciemment détruit en est une autre que nous préconisons fortement (13).
Soulignons par ailleurs que les végétariens qui terrorisent les bouchers et les mangeurs de viande sont des amateurs notoires d’animaux de compagnie. Ils ne semblent pas comprendre que cette forme d’exploitation animale est à mettre dans le même sac que les autres formes d’exploitation animale énumérées dans cet article (14)(15)(16). Or, de deux choses l’une : ils ne font pas le rapport pour une raison ou une autre ou ils ne sont pas sincères, mais motivés par des intérêts personnels qui n’ont rien à voir avec les animaux (17)(18)(19).
Nous ne pourrions pas terminer cette section sans mentionner le lien entre la religion et la popularité des animaux de compagnie. De fait, l’amour des animaux, un sentiment qui s’exprime notamment par le végétarisme, la défense et la protection des animaux, le droit des animaux, les soins vétérinaires, voire la simple possession d’un animal de compagnie, s'inscrit dans un mouvement social amorcé au XVIe siècle en Angleterre, à l'aube de la révolution industrielle (20).
À cette époque, comme aujourd’hui (21)(22), on pensait que se mettre à aimer les animaux à la façon des saints comme François d'Assise, le saint patron des animaux, était « un procédé fort ingénieux, pour établir parmi les hommes le règne pur de la charité ». Il s’agissait, souligne l'ethnologue Éric Baratay, « de purifier l'humanité, d’extirper le goût du sang et de la cruauté, de rendre l’homme meilleur pour ses congénères et donc de protéger l’humanité elle-même » (23). Les autorités morales et spirituelles du moment encourageaient les gens à exercer leur compassion, notamment sur un animal de compagnie (24)(25).
Mais comme le constate le philosophe Luc Ferry dans son livre, Le nouvel ordre écologique.L’arbre, l’animal et l’homme, publié aux éditions Grasset en 1992, l’amour des animaux n’est pas l’apanage du bien, du beau et du bon. Toutes les combinaisons sont possibles. On peut être bon et aimer les animaux, on peut être méchant et aimer les animaux, on peut être bon et ne pas aimer les animaux et on peut être méchant et ne pas aimer les animaux.Or, si vous éliminez ce prétendu monopole du Bien sur l’amour des animaux, vous enlevez aux animalistes leur faire-valoir moral, et par conséquent, leur source de pouvoir, car c’est en effet ce monopole qui les fait briller sur le marché de la compassion. 

Quoi qu’il en soit, ceux qui se servent des animaux à cette fin devront bientôt se trouver un autre moyen de signaler leur vertu, car dans un avenir proche, les animaux robots remplaceront les animaux en chair et en os notamment dans les milieux urbains, dans les hospices et dans les hôpitaux spécialisés en soins palliatifs, gériatriques et psychiatriques. Dans un futur proche, il sera par ailleurs de plus en plus mal vu d’exploiter un animal de compagnie pour des raisons ostentatoires ou pour son seul confort et son seul plaisir.

Les chiens de fonction

Les chiens pisteurs et de sauvetage, de même que les chiens de berger et de traîneau jouent un rôle important, pour l’instant irremplaçable. Par contre, nous ne sommes pas du tout convaincu de l’utilité des autres chiens de fonction comme les chiens pour sourds, handicapés et aveugles.
Prenez le chien-guide pour aveugle, par exemple, eh bien, dans l’imaginaire chrétien,
l’aveugle symbolise l’humanité temporairement perdue dans les ténèbres, depuis sa chute du paradis, et qui cherche son chemin vers la rédemption avec l’aide de son fidèle chien, un envoyé de Dieu (26). Or, cette croyance contient à elle seule toute la chimie nécessaire pour entretenir les illusions du public sur l’efficacité de ces chiens, voire leur nécessité, qui à ma connaissance n’a jamais été démontrée scientifiquement. 

Heureusement, la vision artificielle, une technologie qui arrive à maturité, va bientôt remplacer ces chiens robots qui servent surtout à mettre en valeur l’industrie de la zoothérapie et des animaux de compagnie en général, notamment les fabricants d’aliments pour animaux qui financent généreusement les entreprises spécialisées dans la fabrication de chiens prothèses.

La vivisection

Tant qu’il n’existera pas d’alternatives, il serait pour le moment prématuré d’abandonner la vivisection pour la recherche médicale, notamment l’expérimentation chirurgicale, dans des conditions strictes et hautement réglementées. Il existe par contre une foule d’alternatives intéressantes aux essais pharmacologiques et toxicologiques. Il n’est plus nécessaire par ailleurs, pour les mêmes raisons, d’utiliser des cobayes ou des animaux préservés dans le formol pour les classes de biologie du secondaire (lycée), par exemple (28). 

La corrida

Ses opposants assimilent la corrida à de la torture proposée en spectacle. C’est vrai au premier degré, mais symboliquement, au deuxième degré, on peut voir dans la corrida (comme dans l’élevage concentrationnaire et la chasse) une dramatisation vivante de la lutte contre les instincts, notamment la violence, symbolisée dans ce cas particulier par le taureau (29). Dans ce combat à mort, le matador symbolise la raison (logos) qui à l’aide de la volonté (ethos), symbolisée par la cape du toréador, les picadors, les banderilles et l’épée, affaiblissent la pulsion dérangeante (thanathos) pour mieux la mettre hors d’état de nuire.
Heureusement, la corrida est désormais interdite dans la plupart des pays sauf en Espagne et au Pérou où elle a été déclarée « bien d’intérêt culturel ». Nous préférons canaliser nos pulsions les plus dérangeantes dans des activités moins dommageables et beaucoup plus dignes comme le sport, la méditation, voire la prière.

Les zoos

Les zoos sont des archaïsmes que nous aurions avantage à abandonner. Ils ne jouent pas le rôle d’Arche de Noé qu’on leur attribue. Aucune des espèces élevées dans un zoo n’est en mesure de repeupler un habitat quelconque. Comme les animaux qui sont accouplés ne sont plus soumis à la sélection naturelle, après seulement quelques générations, il se produit chez les descendants une dérive génétique qui se traduit par une foule d’anomalies anatomiques, physiologiques et psychologiques. Des défauts parfois d’une subtilité impossible à déceler même par les yeux les plus aguerris. 
En définitive, le problème des espèces en voie de disparition se situant principalement au niveau de la perte d’habitat et des comportements humains, la solution n’est pas dans les zoos dont la fonction principale est de divertir les citadins et de créer de la richesse ; encore une fois, une marchandisation des animaux que certains trouveront légitimes, mais qui n’incarnent pas la mentalité plus conviviale que nous défendons (30)(31).
Nous proposons à la place la diffusion de faux animaux par l’intermédiaire de la projection holographique et de la réalité augmentée, une technologie qui a déjà fait ses preuves en Asie, et qui permet même d’interagir avec les animaux par le biais d’une application de téléphone « intelligent ».

Les parcs aquatiques

On peut mettre dans le même sac les parcs aquatiques, notamment pour la delphinothérapie. Selon les scientifiques Marino et Lilienfield, les plus grands spécialistes au monde des cétacés, la delphinothérapie est fréquemment associée chez les humains à des blessures et à des infections, et les dauphins font l’objet d’une chasse effrénée, aussi méconnue que cruelle (32)(33). 
Enfin, toutes les thérapies assistées par l’animal ont ce que les économistes nomment un « coût d’opportunité », c’est-à-dire que l’argent et l’énergie que les parents dépensent sur une « thérapie » qui ne donne aucun résultat tangible ne sont plus disponibles pour investir dans des moyens plus éprouvés et sécuritaires comme ceux qui sont offerts par l’assistance publique et divers autres organismes à vocation caritative (34).

Les cirques

Les cirques quant à eux sont de moins en moins populaires. Ils ne sont plus dans l’air du temps. Emprisonner des animaux dans des conditions inhumaines pour leur faire faire des trucs de singe pour impressionner la galerie n’est plus tellement apprécié par le public. Le Cirque du Soleil a bien compris le message, au bon moment, et c’est ce qui explique son succès.

En conclusion

L’exploitation animale, sous toutes ses formes, doit progressivement diminuer. Commençons par éviter les traitements abusifs comme l’élevage intensif, la chasse aux trophées, les placébos de poils et les cirques. N’attendons pas que la science rende finalement inutile l’usage des animaux de laboratoire et de compagnie pour améliorer dès maintenant leurs conditions de vie ou abandonner tout simplement leur usage lorsque c’est possible. 
Charles Dantena une formation universitaire en agronomie et en médecine vétérinaire. Il a pratiqué la médecine vétérinaire pendant 18 ans, dont 10 à son propre compte. 

Bibliographie

Bernardina, Sergio Dalla (2008). L’éloquence des bêtes. Métailié.
Bousquet, Suzanne (2019). Du cachère au halal: Quand cupidité, politique et sournoise destruction de la civilisation occidentale s’entremêlent. Publié à compte d’auteur. 
Danten, Charles (2015). Un vétérinaire en colère. Sur les chemins de la rédemption. Samizdat. La première version de ce best-seller québécois a été publiée par VLB en 1999.
Digard, Jean-Pierre (2005). Les Français et leurs animaux : Ethnologie d’un phénomène de société. Fayard, Pluriel Éthnologie.
Ewen, Stuart (2014). La société de l’indécence. Publicité et genèse de la société de consommation. Éditions Le Retour aux Sources.
Ferry, Luc (1992). Le nouvel ordre écologique. L’arbre, l’animal et l’homme.Grasset.
Le Prince, Juda  (2020). Talmud. Voyage au bout de la nuit. Éditions Saint Agobard.
Tuan, Yi-Fu (1998). Slaves of Our Affection. The Making of Pets. Yale University Press.
West, Patrick (2004). Conspicuous compassion. Why sometimes it really is cruel to be kindCivitas.
Références
1. Bradley C. Johnston et coll. (2019). Unprocessed Red Meat and Processed Meat Consumption: Dietary Guideline Recommendations From the Nutritional Recommendation. Annals of Internal Medicine.
2. Meat is back on the menu, & scientists who want to ban cows for the sake of the planet are outraged. RT Question more. [En ligne]. 
3. Jean-Pierre Digard (2005). L’élevage industriel. Les Français et leurs animaux : Ethnologie d’un phénomène de société. Fayard, Pluriel Éthnologie, p. 4.
4. Tiffanie Ardoin Saint Amand (2004). La règlementation européenne face a l’évolution de la societé : les exemples des antibiotiques facteurs de croissance et du bien être animal en production porcine. Thèse pour obtenir le grade de docteur vétérinaire diplôme d’État présentée et soutenue publiquement en 2004 devant l’Université Paul-Sabatier de Toulouse, [en ligne].
5. Suzanne Bousquet, (2019). Du cachère au halal: Quand cupidité, politique et sournoise destruction de la civilisation occidentale s’entremêlent. Publié à compte d’auteur. 
6. Juda Le Prince (2020). Talmud. Voyage au bout de la nuit. Éditions Saint Agobard.
7. La chasse gagne de plus en plus d’adeptes au Québec. Publié le samedi 14 mars 2015 sur le site de Radio-Canada : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/711301/chasse-hausse-adeptes-quebec
8. Luc Ferry (1992). Le nouvel ordre écologique. L’arbre, l’animal et l’homme.Grasset, p. 167.
9. Harold Herzog (2011). The Impact of Pets on Human Health and Psychological Well-Being: Fact, Fiction, or Hypothesis?Current Directions in Psychological Science20(4) 236–239.
10. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer (2008). Éthique animale. PUF.
11. Jean-Luc Vadakarn (1992). Parle à mon chien, ma tête est maladeAlbin Michel.
12. Michael W. Fox (1990). The American Way of exploiting animalsSt. Martin's Press.
11. Stuart Ewen (2014). La société de l’indécence. Publicité et genèse de la société de consommationÉditions Le Retour aux Sources.
12. Stuart Spencer (2006). History and Ethics of Keeping Pets: Comparison with Farm Animals. Journal of Agricultural and Environmental Ethics; 19: 17-25. 
13. Leslie Irvine (2004). Pampered or Enslaved? The Moral Dilemmas of Pets. International Journal of Sociology and Social Policy; 24 (4): 5-16.
14. Charles Danten (2015). Un vétérinaire en colère. Sur les chemins de la rédemption. Samizdat. La première version de ce best-seller québécois a été publiée par VLB en 1999.
15. Patrick West (2004). Conspicuous compassion. Why sometimes it really is cruel to be kind. Civitas.
16. Yi-Fu Tuan (1998). Slaves of Our Affection. The Making of Pets. Yale University Press.
17. Sergio Dalla Bernardina (2008). L’éloquence des bêtes. Métailié.
18. Keith Thomas (1983). Dans le jardin de la nature. La mutation des sensibilités en Angleterre à l’époque moderne (1500-1800). Gallimard (Bibliothèque des histoires).
19. Temple Grandin et Catherine Johnson (2009). Animals make us human. Houghton Mifflin Harcourt. Kathleen Kete. Ouvr. cité.
20. Karine-Lou Matignon (2000). Sans les animaux, le monde ne serait pas humain. Albin Michel.
21. Éric Baratay (1995). « Respect de l’animal et respect de l’autre, l’exemple de la zoophilie catholique à l’époque contemporaine. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265.
22. Éric Baratay (1998). « Le Christ est-il mort pour les bêtes? » Étude Rurales : 27-48.
23. Jean-Pierre Albert (1995). « L’Ange et la Bête : Sur quelques motifs hagiographiques. » Des bêtes et des hommes : un jeu sur la distance : 255-265.
24. Corinne Morel (2004). Dictionnaire des symboles, mythes et croyances.L’Archipel. 
25. Paul Ronecker (1994). Le symbolisme animal : Mythes, croyances, légendes, archétypes, folklore, imaginaire.Éditions Dangles.
26. Jean-Baptiste Jeangène Vilmer. Ouvrage cité.
27. Luc Ferry. Ouvrage cité, p. 97.
28. Jean-Claude Nouët (1998). « Zoos » dans Si les Lions pouvaient parler. Essais sur la condition animale. Sous la direction de Boris Cyrulnik. Paris : Quarto Gallimard : 543.
29. Eric Baratay et Elizabeth Hardouin-Fugier (2002). Zoo, a history of zoological gardens in the west. Reaction books.
30. Marino Lori et Lilienfield Scott (1998). Dolphin-Assisted Therapy: Flawed Data, Flawed Conclusions. Anthrozoös; 11(4).
31. Marino Lori et Lilienfield Scott (2007). Dolphin-Assisted therapy: More Flawed Data and More Flawed Conclusions. Anthrozoös; 20 (3) : 239-249.
32. Lori Marino et Scott Lilienfeld (2007). Dolphin «therapy »: a dangerous fad, Researchers warn.Science Daily, [en ligne].

samedi 18 septembre 2021

Requiem pour la bête. Les plus gros mensonges des mondialistes



Chères amies, chers amis,

Dans mon livre que je suis heureux de vous présenter, je défends mon droit inaliénable non seulement de chercher et de dire la vérité, mais de me défendre contre l’hydre mondialiste qui tente d’imposer sa domination hégémonique sur le monde par divers moyens de subversion. 

D’un point de vue éthique, personne n’a le droit de façonner les humains à son image et de reconstruire la société sans le consentement du public, voire contre sa volonté, par des moyens perfides et souvent violents.

Sous le couvert de beaux sentiments et de belles intentions, mes ennemis, qui sont peut-être aussi les vôtres, détestent l’humanité tout entière qu’ils tentent d’asservir par le mensonge, la peur et les fausses accusations de racisme, d’antisémitisme et d'incitation à la haine. 

Tant que cette petite clique de sociopathes - forte de son argent mal gagné et de son contrôle presque total des politiciens, des institutions, des médias et de l’internet - ne sera pas détrônée, aucune race, aucune ethnie, aucun peuple ne pourra vivre en paix. 

La publication de ce livre est donc pour moi une question de légitime défense. Ma personne, ma race, mon ethnie, ma société, ma religion, ma culture et ma civilisation sont, en termes juridiques, en « péril de survie ». 

Toutes mes actions, tous mes écrits n’ont donc qu’une seule fonction : contribuer à neutraliser la « bête » qui tente de nous asservir par les « diableries en 666 » qui sont répertoriées dans mon ouvrage.

C’est Fort Alamo, non seulement pour nous les peuples de souche européenne qui sont particulièrement visés par ces dangereux psychopathes, mais pour tous les peuples de la Terre. Si nous ne résistons pas, de toutes nos forces, nous deviendrons tous des hilotes comme à Sparte ou des esclaves de Kolkhozes comme en URSS.










Charles Danten

Titre : Requiem pour la Bête

Sous-titre : Les Plus Gros Mensonges des mondialistes

Préface : Vincent Reynouard

Taille : 12,9 x 19,8 cm

Nombre de pages : 276

Éditeur : Reconquista Press

ISBN : 978-1-912853-28-1

Prix : CA$24.50, 16,50 €


COVID-19, quelques réflexions sur la « plandémie »

Charles Danten

 

Disons d’emblée que je ne parle pas sans connaissance de cause, j’ai un B. Sc. en agronomie et un doctorat de premier cycle en médecine vétérinaire. J’ai de plus une maitrise en traduction orientée vers les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Je connais bien les principes de la médecine pour les avoir appliqués sur le terrain pendant 18 ans, dont dix à mon propre compte dans ma clinique vétérinaire située en banlieue de Montréal. Pour en avoir traduit bon nombre à titre professionnel, je suis par ailleurs relativement bien versé dans les études cliniques, comment elles sont conçues et comment les évaluer. En d’autres mots, même si je ne suis pas un spécialiste, je suis suffisamment compétent pour faire la part des choses et donner mon opinion sur ce crime contre l’humanité dont nous sommes victimes depuis maintenant deux ans et dont les responsables, je l'espère, vont bientôt devoir rendre des comptes.

 

Christian Drosten : l’heure des comptes ?

 

Je vous écris, donc, car je ne sais pas trop à qui je pourrais m’adresser, personne ne vous écoute, les médias de masse ne publient aucune opinion contraire à la doxa officielle. Le débat est clos, on vous tourne le dos dès que vous contestez le moindrement la gestion sanitaire de la COVID calquée en tout point sur les recommandations mensongères de l’OMS et du nabot Fauci, le grand gourou de cette crise à qui Israël vient de donner un million de dollars pour services rendus à l’humanité ! On vous ostracise, on vous prend pour un désaxé, un conspirationniste, voire un fasciste si vous avez le malheur de vous opposer à la version officielle sur :

 

- les mesures sanitaires inutiles, voire contreproductives faisant bien plus de mal que de bien au niveau économique, sociale et psychologique en plus d’être incapables d’arrêter le moindre virus ;

 

Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses

 

- l’escroquerie des tests PCR,  des tests qui ne sont pas un test de dépistage du COVID-19 et qui peuvent donner dépendamment de leur degré de précision jusqu’à 90 % de faux + . Selon le Dr Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef de Pfizer, ce test est en effet « fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement ». Il est utilisé uniquement pour créer la peur et faire perdurer la fausse pandémie pour des raisons politiques et financières. 

 

Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays.

 

- les soi-disant malades « asymptomatiques », un non-sens médical, une contradiction dans les termes, un pur mensonge scientifique inventée de toute pièce par le biologiste, Christian Drosten, le conseillé tout-puissant, d’Angela Merkel, dont les recommandations frauduleuses ont été adoptées aveuglément par l’OMS et tous les gouvernements à sa solde, y compris celui du Québec :

 

« La fausse affirmation selon laquelle une personne peut transmettre le virus sans symptômes est particulièrement perfide, car elle détruit la société : tout le monde ne voit que ses semblables comme un lanceur de virus très dangereux et y réagit avec dégoût, agressivité ou du moins avec peur et panique. Les écoliers étant également endoctrinés par les parents et les enseignants de cette manière, des troubles massifs du comportement et du développement sont déjà prévisibles. »

 

Le mensonge terrible sur les bien-portants (dits « asymptomatiques »)

 

- la vaccination avec un vaccin expérimental non testé comme il se doit dont les effets indésirables à court et à long terme sont désormais massivement documentés; un vaccin aussi inutile qu’inefficace puisque notre système immunitaire est équipé pour y faire face, ce type de virus n'étant pas nouveau.

 

Au bout du compte, au lieu de compter uniquement sur la vaccination, il serait beaucoup plus sensé médicalement d’isoler et de traiter précocement les cas symptomatiques avec des médicaments efficaces comme l’ivermectin, l’hydroxychloroquine, etc. Plus de 200 études crédibles prouvent l’efficacité de l’hydroxychloroquine lorsqu’elle est administrée dès le début des symptômes combinés à du zinc et à un antibiotique comme l’azithromycine ou la doxycycline. L'Inde a pratiquement éradiquer la maladie en traitant avec une combinaison de médicaments efficaces et peu couteux comme l'ivermectin.

 

Les études mondiales sur l’hydroxychloroquine (version du 18 décembre 2020)

 

Pourquoi avoir interdit l’hydroxychloroquine uniquement dans les pays occidentaux alors qu’elle est prescrite avec succès partout ailleurs dans le monde comme en Inde, en Corée du Sud, en Chine et en Russie ? Trop toxique ? Par précaution, afin de protéger la population ? On se moque de qui là ! Avant son interdiction tout de suite avant la plandémie, ce médicament peu dispendieux, vendu à plus de deux milliards de personnes, était en vente libre depuis 70 ans. Par précaution, s’ils étaient réellement concernés par la santé du public, les deux clowns de Québec, les lèche-culs mondialistes, Arruda, Legault et compagnie, feraient bien mieux d’interdire le tabac et l’alcool, deux saloperies qui font bien plus de morts que la COVID et les effets indésirables de tous les médicaments sur le marché. 

 

Est-ce pour maintenir la psychose afin de vendre le plus possible de vaccins inutiles ? Est-ce pour vendre du remdesivir, un médicament inefficace et extrêmement toxique pour les reins, et qui coute 3000 $ le traitement ? Est-ce pour pousser de plus en plus de PME à la faillite. Est-ce pour ruiner la classe moyenne ?  Est-ce pour entraîner la population à obéir au doigt et à l’œil afin de favoriser la mise en place de la Grande réinitialisation vantée par Trudeau ? Est-ce pour réduire massivement la population ?

 

Les autorités, l’OMS en tête, les gouvernements des démocraties occidentales, de même que les médias à leurs ordres ont perdu la tête. Impossible de les raisonner. Ils sont fous de cupidité et saouls de pouvoir. C’est triste à voir, mais c’est pénible aussi, car tout le monde subit les conséquences de cette tyrannie sanitaire, et il semble n’y avoir aucun moyen d'y mettre fin. Les recours en justice sont bloqués ou retardés à l’infini. Les juges sont peu coopératifs. La justice au bout du compte n’est pas rendue et les droits des peuples sont bafoués. Nous sommes en pleine tyrannie sanitaire. Du jamais vu dans les annales non seulement de la médecine, mais de l'histoire.

 

QUI PROTÈGE LA POPULATION DES MENSONGES POLITIQUES ET MÉDIATIQUES

 

D’un variant à l’autre, cette calamité pas plus grave qu’une grippe pour la vaste majorité de la population (taux de létalité de 0,23 %) peut durer très longtemps. On parle même de mesures sanitaires permanentes et d’un carnet de vaccination obligatoire pour s’alimenter et prendre le métro, par exemple.

 

Quelle foutaise ! Si vous voulez vivre dans ce monde-là, moi pas.

 

Tanné à mort, mais lucide.

 


 

 

mercredi 4 août 2021

COVID-19, la guerre contre les peuples

La Grande Faucheuse au service des mondialistes


 Le but de la fausse pandémie COVID-19 a toujours été depuis le début l’imposition du passeport sanitaire. C’est grâce à ce passe numérisé que la population du monde entier pourra être fichée dans une banque de données centrale gérée par les oligarques de Davos qui ont manigancé ce crime contre l’humanité.


Ce sésame servira non seulement à surveiller, mais à mettre en place un gouvernement mondial, et en fin de compte, à réduire, nous verrons comment ci-dessous, la population mondiale à un milliard d’habitants ou moins, la capacité d’accueil idéale de la planète selon les écologistes de l'Agenda 2030 comme le Prince Charles et la référence allemande de la climatologie, Hans Joachim Schellnhuber (1).


 La peur


Mais comment imposer ce passeport sanitaire digne des pires romans dystopiques que personne ne voudrait en temps normal ? Par la peur, l’outil de contrôle par excellence de tout État totalitaire : « [...] le désastre déclencheur — le coup d’État, l’attentat terroriste, l’effondrement des marchés, la guerre, le tsunami, l’ouragan [la pandémie], [la crise climatique] — plonge la population dans un état de choc collectif, écrit Naomi Klein dans son livre, La Stratégie du choc : La Montée d’un capitalisme du désastre. […]  À l’instar du prisonnier terrorisé qui trahit ses camarades et renie sa foi, les sociétés en état de choc abandonnent des droits que dans d’autres circonstances, elles auraient jalousement défendus. (2)»


Le plan directeur


Afin de faire peur à la population, il a fallu mentir, encore et encore, dans l’esprit de cette citation d’Orson Welles : « 10 000 répétitions font une vérité. » Pour frapper fort là où les gens dans une société matérialiste et infantilisée comme la nôtre sont les plus vulnérables, les oligarques au pouvoir ont choisi la Grande Faucheuse comme bogeyman sous la forme d’un virus soi-disant très dangereux, voire mortel, le SARS-CoV-2.  Tout a été pensé d’avance par des gens rompus aux techniques de manipulation psychologique. Voici le plan directeur de cette « plandémie » sortie tout droit d’une fiction de George Orwell :


1. Ne compliquez pas les choses. Résumez le danger au terme « COVID-19 ». C’est simple et ça se dit bien, aussi bien que « CO2 » (un autre bogeyman prétendument corrélé à cette pandémie ; les gens ordinaires ne connaissant pour ainsi dire rien en médecine et en science sont très faciles à manipuler ; il s’agit d’appuyer sur les bons boutons).


2. Trouvez-vous si possible des porte-paroles sympathiques et bien de leur personne, des bons communicateurs, et placez-les dans des postes prestigieux pour leur donner de l’autorité (on a mis à leur service pour les aider des milliers de journalistes, des scientifiques corrompus et une foule d'agents sociaux stipendiés).


3. Interdisez dès le début tout traitement précoce (alors que soigner est le  fondement de la médecine ; cette interdiction est capitale pour imposer comme seules solutions tout ce qui va suivre : l’état d’urgence, les couvre-feux, les mesures sanitaires, les faux tests, les faux malades, la vaccination obligatoire et le passeport sanitaire ; les comploteurs ont également interdit les traitements au stade précoce afin de choquer la population en augmentant le nombre d’hospitalisations et de morts).


4. Déclarez l’état d’urgence afin de mettre en place des pratiques autoritaires non justifiées (c’est un bâillon sur la démocratie, car le gouvernement n’est plus redevable en rien, et les labos pharmaceutiques non plus, car grâce à l'état d'urgence, ils ont obtenu l'immunité pénale ; c'est un moyen, en d'autres mots, avec l’absence de traitements alternatifs, d’autoriser l’usage de vaccins et de médicaments non testés comme il se doit et dont on ne connaît ni l’efficacité ni les effets secondaires à court et à long terme ; les marchands, les idéologues et les ripoux du gouvernement sont donc dans le même bateau ; dans ce capitalisme de connivence, les élites corrompues du monde entier vendent impunément aux marchands du Temple leurs propres peuples).


5. Par le matraquage médiatique, les images et les statistiques anxiogènes, instillez la peur dans l’esprit de la population que vous voulez écraser et dominer sans concessions. Pour ce faire, mettez sur le dos de votre croquemitaine improvisé les pires catastrophes et les pires péchés du monde. Choquez. Jouez sur les sentiments. Montrer à la TV des malades au seuil de la mort et des gens en Chine s’écroulant raide morts dans les rues. Gonflez massivement les chiffres. Décrétez des couvre-feux comme en temps de guerre (c’est anxiogène à mort et afin de favoriser la mise en place d'une gouvernance mondiale, cela unifie les peuples en les mobilisant contre un ennemi commun).


6. Confinez, masquez, distanciez et désinfectez (ces mesures sanitaires dont l’efficacité n’est pas étayée scientifiquement servent surtout à faire croire que l’heure est grave et que le seul moyen d’endiguer ce fléau est de vacciner toute la population, y compris les jeunes (une aberration sans nom) et les adultes en bonne santé (aussi aberrant) qui ne courent quasiment aucun risque de mourir de cette maladie, les gens à risque étant surtout les vieux moribonds de plus de 80 ans atteints de plusieurs maladies : selon les chiffres du CDC des États-Unis, le taux de survie pour les 0-19 ans est de 99,997 %, les 20-49 ans, 99,98 %, les 50-69 ans, 99, 5%, et les 70 ans et +, 94,6 % (3) ; ces chiffres seraient considérablement améliorés (+85 %), y compris chez les personnes les plus à risque, si l'interdiction de traiter précocement, avec entre autres l'ivermectin et l'hydroxychloroquine, était levée (4)).


7. Aux mêmes fins : 


·     A) exagérez massivement le nombre de morts en classant « COVID-19 » n’importe quel décès ou presque ; 


·     B) sous prétexte d’éviter la propagation du virus, interdisez les autopsies (impossible à ce moment-là d’identifier la cause exacte du décès) ; 


·     C) multipliez le nombre de cas+ avec des tests PCR incapables de faire la différence entre la COVID-19 et une grippe ou une autre maladie respiratoire (selon les chiffres du CDC, le nombre de cas d’influenza pendant la saison des grippes du 1er octobre au 1er avril 2019-2020 est passé en 2020-2021 de 39 000 000 à 2124 (5) ; ça ne prends pas la tête à Papineau pour comprendre que bon nombre de cas COVID-19 sinon la majorité étaient de toute évidence des cas d’influenza ou de grippe saisonnière, le test PCR n'étant pas spécifique au COVID-19, ils ont tout mis dans le même sac COVID) ;

 

·     D) utilisez un test PCR réglé à son maximum de précision (soit 35 à 40 cycles et plus) afin d’exagérer massivement le nombre de faux cas + (un test réglé aussi haut trouvera du COVID-19 aussi bien dans un pot de fleurs que dans une papaye).


8. Inventez de toute pièce (ce n’est pas des blagues) la notion de transmission asymptomatique (une impossibilité médicale, car si vous avez une charge de virus assez élevée pour être contagieux, vous êtes obligatoirement malade, c'est-à-dire symptomatique) afin de faire croire que tout le monde peut être contagieux (justifiant ainsi la nécessité de tester les non malades et de confiner toute la population, alors que normalement on ne teste et on ne confine que les malades afin de les traiter et les empêcher de transmettre leur maladie. Un vaccin et des mesures sanitaires extrêmes sont donc inutiles, ce type de virus étant en circulation depuis longtemps, la plupart des gens sont déjà protégés).


9. Culpabilisez les fortes têtes qui refusent de mettre le masque, par exemple, ou qui refusent de se faire vacciner, en leur faisant croire qu’ils mettent en danger autrui même s’ils n’ont aucun symptôme et ne sont pas à risques.


10. Faites faire la police par les propriétaires et les employés des magasins et des commerces (un tas de gens bien intentionnés, des petits commis frustrés, des ayatollahs en herbe, des petits boss de bécosse saisiront cette occasion en or pour se défouler, s’affirmer ou signaler leur vertu en rappelant à l’ordre parfois violemment les récalcitrants et les délinquants).


11. Semez le doute et la confusion en changeant d’avis continuellement. Donnez la parole à de faux opposants qui ne feront que jeter de l’huile sur le feu par la désinformation. Publiez dans des revues prestigieuses comme la revue médicale Lancet des informations fausses ou contradictoires rédigées par des mercenaires de la science (ces techniques de manipulation exaltent la tension, l’insécurité et la peur afin de favoriser l’obéissance aveugle).

 

12. Répétez, répétez, répétez, voilà le secret de la fabrication du consentement. Faites-en un réflexe pavlovien en associant COVID-19 à catastrophe, désastre, souffrance danger et mort, et en associant solution à vaccin et vaccin à passeport sanitaire (c’est pour cette raison que cette pandémie est omniprésente dans les médias; il n’est pas absurde de penser dès lors qu’il s’agit d’une pandémie médiatique. Une personne, autrement dit, qui n’a pas la TV et qui ne lit pas les journaux ne se rendrait pas compte qu’elle est en danger de mort puisque personne ne meurt dans les rues et puisque peu de gens dans son entourage sont vraiment malades; elle verrait un cas de grippe pour ce qu’il est sans en faire un drame).


13. Et surtout, n’allez pas dans les détails, cachez la vérité, censurez, ne donnez jamais la parole aux contradicteurs; insultez-les, salissez-les, moquez-vous d’eux, traitez-les de complotistes, de négationnistes, voire de fascistes et de racistes dès qu’ils pointent le nez ; persécutez-les, bloquez leurs comptes en banque, faites-les congédier ; ne publiez jamais leurs articles et leurs vidéos ; bannissez-les des réseaux sociaux (GAFA) ; accusez-les d’une déviance sexuelle quelconque, le sexe c’est très vendeur, il en restera toujours quelque chose. S'il le faut, traitez-les d'antisémite, le seul anathème encore passible d'excommunication et d'enfermement.


14. Pour finir, dites au public que par précaution, on ferait mieux de se faire vacciner tout de suite, bien avant la fin des études cliniques, même si on ne sait pas si ce vaccin expérimental est sécuritaire et efficace. Jouez sur l’altruisme naturel des populations, notamment d’origine européenne, dites-leur qu’en se protégeant, elles protègent les autres. Faites-les marcher à la carotte en leur faisant croire que des matins glorieux les attendent au bout du chemin. Vous aurez l’air d’une bonne personne, sincère et préoccupée par le bien-être de vos compatriotes. Reconnaissants, ils vous défendront et vous obéiront au doigt et à l’œil (selon le principe du syndrome de Stockholm défini comme ceci par Wikipédia : « un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie. »).


Les vaccins


Inutile de le répéter, le but ultime des vaccins n’est ni la protection ni la prévention. Comment le savons-nous ? Eh bien parce que ces raisons ne sont pas plausibles pour les raisons suivantes :


Voici en gros le mode d’action prétendu de ces « vaccins » : on vous injecte dans le bras une substance contenant des messagers ARN et autres composants dont la nature est tenue secrète par les fabricants ; ces mARN vont utiliser la machinerie de vos cellules pour produire de la protéine "spike" (protéine de pointe), une protéine biologiquement active qui se trouve à la surface du virus ; cette protéine une fois libérée dans la circulation va stimuler la production d’anticorps pour la détruire ; toute autre présence subséquente de cette protéine dans votre organisme sera en théorie détruite par ces anticorps.


Or, selon l'immunologiste Mike Yeadon, cofondateur du laboratoire Zarco, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 18 ans (ce n'est pas rien !), le problème avec cette explication est le suivant : d’abord pourquoi stimuler indirectement par l’entremise de mARN la production d’anticorps alors qu’on pourrait obtenir le même résultat (comme le font les Russes avec le SpoutnikV et les Chinois avec le CoronaVac) avec un vaccin conventionnel contenant une protéine spike, voire un virus désactivé ou modifié ? C’est une façon compliquée pour rien de produire des anticorps. Ensuite, étant trop gros pour rentrer dans les cellules où se trouvent les virus, les anticorps jouent un rôle dérisoire dans l'immunité contre les virus ARN comme le SARS-CoV-2 qui s'attaquent à l'épithélium du système respiratoire. Ce sont surtout l'interféron, la première ligne de défense à la surface de l'épithélium respiratoire, et les cellules T (killer cells), qui font partie de l’immunité cellulaire, qui protègent du virus en détruisant les cellules de l’épithélium respiratoire qui sont infectées. Cela veut dire en fin de compte que l’intention prêtée à ces « vaccins » est fausse (6). 


Mais si ces « vaccins » ne servent pas à protéger ou à prévenir, à quoi diable peuvent-ils servir ? « Si le but n’est pas bénin, il doit forcément être malin », constate avec effroi le Dr Mike Yeadon. Et si ce but est malin, quel est-il exactement ?


Avant de répondre à cette question qui tue, quelques notions élémentaires sur les variants sont nécessaires : comme l’explique le Dr Yeadon, lorsqu'un virus se réplique en utilisant les outils de la cellule, les erreurs typographiques sont la norme (erreurs de transcription). Pour faire simple, au lieu de répliquer, par exemple, le segment AATTGC du virus, le ribosome de la cellule qui fabrique les milliers de segments dont est fait un virus se trompe et produit un segment légèrement différent comme ATATCG. C'est un variant,  mais la plupart des variants étant 99,97 % identiques à l'original, le système immunitaire n'a aucun mal à les reconnaître et les combattre (7). Si les vaccinés, autrement dit, sont sensibles aux nouveaux variants, c'est uniquement, aux mieux, parce que les vaccins sont inefficaces ou au pire, parce que les vaccinés font des réactions indésirables au vaccin qu'ils ont déjà reçu.


« On vous ment, par conséquent, déplore le Dr Yeadon, lorsqu'on vous dit qu'un variant 0,03 % différent du virus initial est plus dangereux. Une si petite différence ne justifie aucunement l’adaptation des vaccins aux variants comme les fabricants sont en train de faire, et ce, sans avoir à les tester puisque les autorités médicales ont jugé que ces adaptations aux variants étaient trop semblables aux premiers vaccins. Je suis terrifié à l’idée que ces vaccins adaptés à chaque variant pourraient être utilisés pour vous rendre malade, voire vous tuer, mais je ne vois pas d’autres explications. (8) »


Toujours d’après le Dr Yeadon, et de nombreux autres scientifiques, la protéine spike produite par les mARN du « vaccin » a la capacité de détruire votre santé, et si vous êtes en âge de procréer, de vous rendre stérile. Le but recherché de cette ingéniérie génique n’est donc pas la production d’anticorps pour vous protéger, mais la production de cette fameuse protéine spike. Cette protéine toxique peut se loger n’importe où dans votre corps: le cœur, les vaisseaux pulmonaires, les capillaires du cerveau, les ovaires, l'utérus, le placenta, les cellules séminales qui fabriquent les spermatozoïdes, etc. Et c’est sans parler des autres composants dont on ne connaît pas la nature. À quoi servent-ils exactement ? Pourquoi tenir cette information secrète ? Ne sommes-nous pas en droit de le savoir ?


Voici ce que dit le Groupe REINFO COVID sur les vaccins à mARN :

L’examen des données disponibles suggère clairement qu’une mortalité vaccinale inédite est en train de se développer partout en Occident, en lien avec l’usage des nouveaux vaccins anti-covid. […[ Et cette mortalité vaccinale n’est que la pointe émergée de l’iceberg des effets indésirables graves. Même réduite à ses plus élémentaires principes de déontologie (primum non nocher), l’approche de cette question en termes de santé publique devrait donc conduire à suspendre d’urgence la campagne vaccinale […]. (9)

Voir aussi le témoignage du Dr Zelenko :


Les matins glorieux au bout du chemin


Voici le but ultime de cette « plandémie » : il s’agit d’imposer à une échelle planétaire un passeport sanitaire électronique qui sera géré centralement par les oligarques qui ont manigancé cette plandémie médiatique avec la complicité de l'OMS et des gouvernements. Cet outil de contrôle et de surveillance permettra d'imposer la gouvernance mondiale et la dépopulation à l’aide d'injections toxiques répétées en réponse aux nouveaux variants « typographiques » qui surgissent. 


Ce système de flicage sera mis en place graduellement selon le principe de la grenouille ébouillantée. On commencera par l'exiger pour les restaurants et le cinéma, par exemple, puis on passera graduellement à d'autres services. Sous la menace continuelle de nouveaux variants prétendument dangereux, on vous forcera dès lors à renouveler vos injections régulièrement pour avoir accès aux soins, à la nourriture, votre compte en banque, les transports en commun, etc. Vous recevrez sur l’App de votre téléphone intelligent un avis vous invitant à renouveler votre « vaccin ». Vous aurez alors 20 jours, par exemple, pour vous faire piquer avant d’être en rupture de services.  


Et vous ne pourrez rien faire une fois que ce système de contrôle sera mis en place, les mesures de surveillance à l’instar des impôts et des taxes n’étant en effet jamais temporaires, mais toujours cumulatives et permanentes. De fait, les gouvernements ne reviennent jamais en arrière particulièrement en ce qui concerne les mesures liberticides. Pour votre bien, vous dira-t-on, Big Brother aura l’œil sur vous 24 h sur 24. Si vous avez le malheur de résister, on vous coupera tout simplement les vivres; l'argent liquide dans ce meilleur des mondes étant chose du passé, à moins d'avoir un moyen de subsistance alternatif, vous ne survivrez pas sans votre passe. Ce sera la société totalitaire la plus aboutie que le monde ait connue (10).


Dans ce dessin animé en anglais, facile à comprendre, on vous explique en quelques minutes ce que vous devez savoir non seulement sur cette fausse pandémie, mais sur les prétendus vaccins :

https://videos.files.wordpress.com/p8R7ebPy/if-people-get-jabbed-after-watching-this-they-are-beyond-saving-3_mp4_dvd.mp4


NOTES

1. « The Great Reset (3) », Faits & Documents, no489, 2020.

2. Naomi KLEIN, La Stratégie du choc : La Montée d’un capitalisme du désastre, essai traduit de l’anglais canadien par Lori Saint-Martin et Paul Gagné, Leméac, 2010.

3. Edwin Mora,  “CDC Data Shows High Virus Survival Rate: 99%-Plus for Ages 69 and Younger, 94.6% for Older”, Breibart News, 20 septembre 2020.

4. Séminaire Peter A. McCullough, IHU Méditerranée-Infection, 5 juillet 2021, YouTube.

5. Scrips National,  “Flu cases plummeted during the 2020-2021 season”, CDC says, The Denver Channel, 24 mai 2021.

6. Dr. Mike Yeadon, “A final Warning. Planet Lockdown”, Bitchute.

7. Ibid.

8. Ibid.

9. La dangerosité des nouveaux vaccins anti-civid est un fait historique, REINFO COVID, le 20 août 2021. 

 10. Dr. Mike Yeadon. Article cité.