samedi 18 septembre 2021

COVID-19, quelques réflexions sur la « plandémie »

Charles Danten

 

Disons d’emblée que je ne parle pas sans connaissance de cause, j’ai un B. Sc. en agronomie et un doctorat de premier cycle en médecine vétérinaire. J’ai de plus une maitrise en traduction orientée vers les études cliniques en médecine et en pharmacologie humaines. Je connais bien les principes de la médecine pour les avoir appliqués sur le terrain pendant 18 ans, dont dix à mon propre compte dans ma clinique vétérinaire située en banlieue de Montréal. Pour en avoir traduit bon nombre à titre professionnel, je suis par ailleurs relativement bien versé dans les études cliniques, comment elles sont conçues et comment les évaluer. En d’autres mots, même si je ne suis pas un spécialiste, je suis suffisamment compétent pour faire la part des choses et donner mon opinion sur ce crime contre l’humanité dont nous sommes victimes depuis maintenant deux ans et dont les responsables, je l'espère, vont bientôt devoir rendre des comptes.

 

Christian Drosten : l’heure des comptes ?

 

Je vous écris, donc, car je ne sais pas trop à qui je pourrais m’adresser, personne ne vous écoute, les médias de masse ne publient aucune opinion contraire à la doxa officielle. Le débat est clos, on vous tourne le dos dès que vous contestez le moindrement la gestion sanitaire de la COVID calquée en tout point sur les recommandations mensongères de l’OMS et du nabot Fauci, le grand gourou de cette crise à qui Israël vient de donner un million de dollars pour services rendus à l’humanité ! On vous ostracise, on vous prend pour un désaxé, un conspirationniste, voire un fasciste si vous avez le malheur de vous opposer à la version officielle sur :

 

- les mesures sanitaires inutiles, voire contreproductives faisant bien plus de mal que de bien au niveau économique, sociale et psychologique en plus d’être incapables d’arrêter le moindre virus ;

 

Le confinement et ses avantages : des allégations délibérément fausses

 

- l’escroquerie des tests PCR,  des tests qui ne sont pas un test de dépistage du COVID-19 et qui peuvent donner dépendamment de leur degré de précision jusqu’à 90 % de faux + . Selon le Dr Mike Yeadon, ancien directeur et scientifique en chef de Pfizer, ce test est en effet « fatalement défectueux et doit être retiré immédiatement ». Il est utilisé uniquement pour créer la peur et faire perdurer la fausse pandémie pour des raisons politiques et financières. 

 

Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays.

 

- les soi-disant malades « asymptomatiques », un non-sens médical, une contradiction dans les termes, un pur mensonge scientifique inventée de toute pièce par le biologiste, Christian Drosten, le conseillé tout-puissant, d’Angela Merkel, dont les recommandations frauduleuses ont été adoptées aveuglément par l’OMS et tous les gouvernements à sa solde, y compris celui du Québec :

 

« La fausse affirmation selon laquelle une personne peut transmettre le virus sans symptômes est particulièrement perfide, car elle détruit la société : tout le monde ne voit que ses semblables comme un lanceur de virus très dangereux et y réagit avec dégoût, agressivité ou du moins avec peur et panique. Les écoliers étant également endoctrinés par les parents et les enseignants de cette manière, des troubles massifs du comportement et du développement sont déjà prévisibles. »

 

Le mensonge terrible sur les bien-portants (dits « asymptomatiques »)

 

- la vaccination avec un vaccin expérimental non testé comme il se doit dont les effets indésirables à court et à long terme sont désormais massivement documentés; un vaccin aussi inutile qu’inefficace puisque notre système immunitaire est équipé pour y faire face, ce type de virus n'étant pas nouveau.

 

Au bout du compte, au lieu de compter uniquement sur la vaccination, il serait beaucoup plus sensé médicalement d’isoler et de traiter précocement les cas symptomatiques avec des médicaments efficaces comme l’ivermectin, l’hydroxychloroquine, etc. Plus de 200 études crédibles prouvent l’efficacité de l’hydroxychloroquine lorsqu’elle est administrée dès le début des symptômes combinés à du zinc et à un antibiotique comme l’azithromycine ou la doxycycline. L'Inde a pratiquement éradiquer la maladie en traitant avec une combinaison de médicaments efficaces et peu couteux comme l'ivermectin.

 

Les études mondiales sur l’hydroxychloroquine (version du 18 décembre 2020)

 

Pourquoi avoir interdit l’hydroxychloroquine uniquement dans les pays occidentaux alors qu’elle est prescrite avec succès partout ailleurs dans le monde comme en Inde, en Corée du Sud, en Chine et en Russie ? Trop toxique ? Par précaution, afin de protéger la population ? On se moque de qui là ! Avant son interdiction tout de suite avant la plandémie, ce médicament peu dispendieux, vendu à plus de deux milliards de personnes, était en vente libre depuis 70 ans. Par précaution, s’ils étaient réellement concernés par la santé du public, les deux clowns de Québec, les lèche-culs mondialistes, Arruda, Legault et compagnie, feraient bien mieux d’interdire le tabac et l’alcool, deux saloperies qui font bien plus de morts que la COVID et les effets indésirables de tous les médicaments sur le marché. 

 

Est-ce pour maintenir la psychose afin de vendre le plus possible de vaccins inutiles ? Est-ce pour vendre du remdesivir, un médicament inefficace et extrêmement toxique pour les reins, et qui coute 3000 $ le traitement ? Est-ce pour pousser de plus en plus de PME à la faillite. Est-ce pour ruiner la classe moyenne ?  Est-ce pour entraîner la population à obéir au doigt et à l’œil afin de favoriser la mise en place de la Grande réinitialisation vantée par Trudeau ? Est-ce pour réduire massivement la population ?

 

Les autorités, l’OMS en tête, les gouvernements des démocraties occidentales, de même que les médias à leurs ordres ont perdu la tête. Impossible de les raisonner. Ils sont fous de cupidité et saouls de pouvoir. C’est triste à voir, mais c’est pénible aussi, car tout le monde subit les conséquences de cette tyrannie sanitaire, et il semble n’y avoir aucun moyen d'y mettre fin. Les recours en justice sont bloqués ou retardés à l’infini. Les juges sont peu coopératifs. La justice au bout du compte n’est pas rendue et les droits des peuples sont bafoués. Nous sommes en pleine tyrannie sanitaire. Du jamais vu dans les annales non seulement de la médecine, mais de l'histoire.

 

QUI PROTÈGE LA POPULATION DES MENSONGES POLITIQUES ET MÉDIATIQUES

 

D’un variant à l’autre, cette calamité pas plus grave qu’une grippe pour la vaste majorité de la population (taux de létalité de 0,23 %) peut durer très longtemps. On parle même de mesures sanitaires permanentes et d’un carnet de vaccination obligatoire pour s’alimenter et prendre le métro, par exemple.

 

Quelle foutaise ! Si vous voulez vivre dans ce monde-là, moi pas.

 

Tanné à mort, mais lucide.